Meurtre d'Alexia Daval à Gray la Ville (70) II

Kassandra88 a écrit:@Tivier,
Il y aura une série consacrée à Vérove sur Netflix. J'aimerais la regarder ... mais je ne suis pas abonnée.

Kass sauf erreur le premier mois est gratuit et sans engagement. Y a quelques années j'en avais profité pour mater une série et j'ai coupé l'abo ensuite sans rien payer.

Ce qu'il ne faut pas lire !
Je souhaite bien du courage à sa nouvelle compagne !
Jonathann Daval de nouveau en couple : il a retrouvé l'amour en prison
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Ouai, faut vraiment se poser la question de la régulation des courriers et des visites en prison. Elle a quoi dans la tête la fille ? Jamais compris ces personnes qui sont attirées par des criminels. Y a un côté malsain de mon point de vue.

Dynaroo a écrit:Ce qu'il ne faut pas lire !
Je souhaite bien du courage à sa nouvelle compagne !
Jonathann Daval de nouveau en couple : il a retrouvé l'amour en prison
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C'est sûr !

Non seulement la nouvelle en soi est aberrante, mais le "journaliste" a écrit n'importe quoi sur la peine de JD.

Sa peine est SANS periode de sûreté, ça veut justement dire qu'il n'y a pas une durée minimale obligatoire avant de pouvoir demander une libération conditionnelle.
JD pourra la solliciter dès mi-peine, voure un peu avant, avec une évaluation et des conditions strictes (éloignement géographique, ne pas évoquer l'affaire, obligation de travail/formation, etc.)

Et tout détenu peut solliciter cette libération conditionnelle, y compris un condamné à perpétuité, à l'issue de sa période de sûreté, peut faire cette demande.
(P. Allègre l'avait fait récemment, puis son avocat lui avait suggéré de se désister, au vu des expertises psy désastreuses.)

Bien sûr, une demande ne présage rien de la réponse qui relève du Juge d'Application des Peines, des avis du SPIP, du comportement en détention, des évaluations ad hoc, etc.

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2,7 millions de téléspectateurs, c'est un petit score pour TF1.
Peut-être que pour pas mal de téléspectateurs potentiels, il y a une limite à l'indecence.

Par contre, mea culpa : ce téléfilm était issu d'un livre d'une journaliste qui revenait sur l'affaire et non de celui des parents.

Mais, ce n'est que partie remise !
Les droits de leur livre ont aussi été rachetés et une mini-série en 6 épisodes est en préparation...
Ce sera aussi sans moi.

Sans moi également. Je n'y vois aucun espèce d'intérêt. C'est plus du voyeurisme qu'autre chose.

Tivier a écrit:Sans moi également. Je n'y vois aucun espèce d'intérêt. C'est plus du voyeurisme qu'autre chose.

Tout-à-fait

Et ça aussi (à partir de 21m10)



L'interlocuteur de D. Rizet (et lui-même du coup) laiseent entendre que JD "a retrouvé l' amour en prison", probablement avec un autre prisonnier.

Quelle surprise, 

Tant mieux pour eux, même si nous ne devrions pas être au courant.

Et quel affreux gâchis d'en venir à tuer son épouse, plutôt que de se séparer et que chacun assume sa nouvelle vie !

Alexia aurait été heureuse avec un homme impliqué dans des projets de parentalité, de construction d'un foyer dans toutes ses dimensions (affective, sexuelle, sociale, etc.).
JD aurait enfin pu vivre son homosexualité discrètement ou ouvertement.

Nous n'aurions jamais entendu parler d'eux, leurs familles auraient fait avec.

Hélas !
Une jeune femme est six pieds sous terre pour toujours.

Lisetoct a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
"La vie de Jonathann Daval a changé." Selon les informations de notre consultant police-justice Dominique Rizet, l'ancien informaticien a "trouvé l'amour en prison, il a rencontré un garçon, un détenu".

"Cette information est intéressante puisque Jonathann Daval a toujours eu un blocage, quelque chose qu'il n'arrivait pas à verbaliser" dans sa relation avec Alexia Fouillot et qui provoquait chez lui un profond mal-être, d'après ses déclarations, rappelle notre consultant.

Hé bien voilà l'élément qu'il manquait pendant le procès mais dont on se doutait tous un peu...

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...Sauf lui, son épouse et les 2 familles concernées.
Quelque soit le sujet épineux, le déni n'est pas seulement chez la personne concernée, mais bien souvent aussi dans l'entourage.

Et le feuilleton continue, bien sûr.
Là, c'est sa Môman qui dément catédoroquement cette liaison.
Et pour cause !
C'est son fiston qui lui a dit au parloir que c'était faux.

Et bien sûr, il faudrait croire sur parole ce modèle de franchise et de droiture,

Comme quand il était un veuf éploré ou quand il a rendu responsable de son crime et de la crémation la victime, puis l'ensemble de sa belle-famille chez qui il avair squatté en pleurnichant pendant 3 mois !  
Et encore avant, dès son entrée dans la vie d'Alexia.

Sincèrement, ça ne doit pas être facile d'être la mère, le beau-père, le frère ou la soeur d'un BIP pareil.
Surtout dans une petite commune de Haute-Saone...

Quant à la mère d'Alexia Fouillot, elle a bien analysé la situation (et ce n'est pas toujours le cas.) :

. « Il cherchait juste le confort de notre famille. Je ne sais pas pourquoi il s’est marié. Quand on se marie, c’est pour créer sa propre famille. C’est comme si c’était hier, et on en apprend encore et encore »,

Ça peut être sans le projet d'avoir des enfants, mais il faudrait alirs que les 2 personnes du couple soient parfaitement au clair et d'accord avec ça.
Et si elles ne le sont pas/plus, qu'elles se séparent !
Nous ne sommes plus au XIXème siècle.

Bien sûr, ça implique aussi de ne pas être en couple pour le confort matériel de la bell-famille, le vernis de respectabilité supposée et en (se) cachant sa véritable orientation sexuelle

Bon, pour tout ça, il faut un peu de courage et JD est un lâche très méprisable, sinon il se serait conduit autrement et nous n'aurions jamais entendu parler de lui.

Donc, le doute n'est plus permis, s'il s'est mis en couple avec Alexia, c'est uniquement qu'il y voyait un intérêt personnel, celui du confort de sa belle-famille, qui est aisée financièrement + la maison.

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"Et ça continue encore et encore..."

C'est au tour de Martine Henry, la mère de J. Daval de sortir un "bouquin".
En même temps, comment
le lui reprocher ?
C'est un peu la réponse du berger à la bergère...

"C'est que le début, d'accord, d'accord !"

Dans quelques temps, la 2ème mini'sérir, directement adapté de l'opus des parents d'Alexia...

Lassitude

Bonjour Kassandra

Cette maman dit qu'elle ne s'attendait pas à ça, elle non plus.

C'est quoi au juste, cette maison centrale d'Ensisheim ? On y regroupe d'inquiétants "locataires".
Outre Guy Georges, Nordhal Lelandais, Francis Heaulme, Patrice Alègre...

On voit une mère avec un QI "légèrement déficient ". La bêtise humaine en action. On disait "Bêtes et méchants ".

2023

Vrai ou pas vrai? Incroyable, en tout cas :

"En effet, en prenant appui sur l’ouvrage Alexia, notre fille (éditions Robert Laffont), Christophe Hondelatte a souligné un point de vue important :
À savoir, la réaction des parents d’Alexia lorsqu’ils ont su ce qu’avait fait Jonathann la veille de la marche blanche. "C’est ainsi que la veille de la marche blanche, il est parti à Dijon avec la Porsche de Jean-Pierre, accompagné du mari de sa sœur, pour aller voir le film Thor au cinéma, ont rapporté les parents de la victime, scandalisés. Il ne nous en a jamais rien dit, ce sont les caméras de surveillance qui bien plus tard nous apprendront qu’il s’était offert cette escapade après avoir pleuré quelques jours plus tôt devant les caméras." Une sortie jugée ahurissante qui a beaucoup choqué Jean-Pierre et Isabelle Fouillot. "Un mari éploré n’aurait jamais fait ça, cite le journaliste dans son podcast. Le meurtrier de notre fille, si." Preuve que les parents d’Alexia ont, après avoir découvert les faits, été scandalisés par la réalité…"

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"Faites entrer l'accusé" lundi 1 mai 2023 à 21:10 sur RMC Story.

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via @TeleLoisirs

Un nouveau procès se profile à l’horizon pour Jonathann Daval. Le meurtrier d’Alexia Daval est visé par une citation directe devant le tribunal correctionnel de Besançon (Doubs) délivrée cette semaine par le cabinet Portejoie, avocats du beau-frère, de la sœur et des parents d’Alexia. L’homme de 39 ans, qui purge une peine de vingt-cinq ans de réclusion pour avoir tué sa conjointe en octobre 2017 à Gray (Haute-Saône), comparaîtra pour dénonciation calomnieuse, délit passible de cinq ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. Une première audience est fixée en janvier.

Les proches d’Alexia lui reprochent d’avoir soutenu, en pleine instruction et pendant près de six mois en 2018, la thèse d’un complot familial fomenté contre lui, prétendant que sa femme avait été étranglée par son beau-frère, Grégory, en présence de sa sœur, Stéphanie, et de ses parents, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot. Une version battue en brèche par Jonathann Daval lui-même quand il a avoué son crime le 7 décembre 2018. Et une culpabilité consacrée par le verdict de condamnation de la cour d’assises de la Haute-Saône du 21 novembre 2020.

Cette affaire à « l’écho médiatique exceptionnel », comme l’a qualifiée la juge d’instruction, va donc connaître un prolongement inattendu. Un acte espéré depuis des années par les proches d’Alexia, très marqués par ce scénario machiavélique révélé par Jonathann Daval le 27 juin 2018. « Ces accusations mensongères n’ont fait que rajouter de la souffrance à leur douleur », insistent leurs conseils, Mes Gilles-Jean et Jean-Hubert Portejoie, qui avaient riposté en déposant plainte contre X pour dénonciation calomnieuse dès la fin 2018.

« Tous les regards se sont tournés vers nous, mais ce n’était plus des regards de compassion, mais plutôt accusateurs », avait alors témoigné la mère d’Alexia. « Nos vies personnelles et professionnelles ont été lourdement impactées par ces déclarations abjectes », confiait la sœur de la victime. Quant à Grégory, désigné comme le meurtrier, il relevait : « Les conseils de M. Daval ont largement fait la publicité de son histoire en disant qu’elle était tout à fait crédible au vu des éléments du dossier et qu’ils avaient les clés de la vérité. »

Cette plainte a été classée sans suite en novembre 2021 par le procureur de Vesoul. « On nous a demandé de temporiser, aucune investigation n’a été faite », déplore le cabinet Portejoie qui - après d’autres procédures avortées - a choisi la voie de la citation directe, qui permet à une victime de saisir directement un tribunal pénal sans passer par la phase d’enquête. Une procédure plus rapide mais plus exigeante en termes de preuves.

« Jonathann Daval a librement accusé Grégory dans le bureau du juge et il avait nécessairement conscience de la fausseté des faits, puisque c’est lui qui avait tué son épouse », résume le cabinet Portejoie, pour qui les éléments intentionnel et moral du délit de dénonciation calomnieuse sont caractérisés. « Les faits sont établis, c’est une évidence. Il était hors de question que Jonathann Daval puisse s’en sortir comme cela, nous devions marquer le coup », confie le beau-frère d’Alexia qui déplore les atermoiements passés de la justice dans ce volet de l’affaire. Au total, le cabinet Portejoie réclame 60 000 euros de dommages-intérêts, dont la moitié pour Grégory, dont la vie a été « totalement bouleversée ».

Contacté ce vendredi, l’avocat historique de Jonathann Daval indique ne pas être au courant de cette citation directe. « C’est étonnant. Il y a eu un procès pénal, une audience sur les intérêts civils, je pensais cette affaire soldée et close pour tous. Je suis extrêmement surpris », réagit Me Randall Schwerdorffer, rappelant, comme une explication possible, que les parties civiles « n’avaient pas obtenu les très lourdes indemnisations qu’elles réclamaient ».
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2024

C’est une nouvelle identité à laquelle elle a dû se faire. Presque une carte de visite, brandie par celle qui s’est retrouvée du mauvais côté de l’histoire. « Je suis la mère d’un criminel », lâche d’emblée Martine Henry, tout en franchise. Son fils, Jonathann Daval, est au centre d’une affaire qui a passionné la France, et dont les ultimes soubresauts occupent encore les tribunaux.

Trois ans après sa condamnation à 25 ans de réclusion pour le meurtre de sa femme Alexia, dont il avait mis en scène la disparition après un jogging imaginaire à Gray (Haute-Saône) en octobre 2017, avant de jouer le veuf éploré durant trois mois, l’ancien informaticien est poursuivi pour « dénonciation calomnieuse » par les membres de sa belle-famille.

Mes Jean-Hubert et Gilles-Jean Portejoie, leurs avocats, ont déposé une citation directe devant le tribunal correctionnel de Besançon (Doubs), qui doit, ce vendredi 12 janvier, fixer la date du futur procès. Ils reprochent à Jonathann Daval d’avoir prétendu durant six mois qu’Alexia avait été tuée par son beau-frère Grégory Gay, avec la complicité de ses parents et de sa sœur.

« Ce que je voudrais, c’est que tout cela se termine »
Une audience qui sera très suivie par la presse, mais qui n’intéresse pas Martine Henry, déjà en litige au sujet de la succession, et notamment la maison du couple. « Ce que je voudrais, c’est que tout cela se termine. Qu’on puisse avancer et que Jonathann ait la paix en détention », dit-elle, fatiguée par l’ultra-médiatisation de l’affaire qui, de fictions en documentaires, n’a jamais vraiment cessé.

« Si on va par là, moi aussi j’ai été diffamée », s’agace d’ailleurs Martine Henry, qui n’a pas digéré les propos de Grégory Gay, insinuant qu’elle aurait été de mèche alors qu’un cheveu lui appartenant avait été découvert dans le coffre de l’utilitaire ayant transporté le corps. « Je suis extrêmement peinée pour eux, ils ont perdu Alexia. Mais c’est comme si ma parole à moi ne comptait pas… », regrette celle qui, à son tour, a raconté son versant de l’histoire dans un ouvrage sobrement intitulé « Moi, maman de Jonathann » (ed. Michalon).

Elle y détaille le vertige de découvrir son fils adoré en meurtrier, son incrédulité face à l’horreur des faits — coups, étranglement, crémation du corps. « Jusqu’au procès, je ne voulais pas admettre la réalité. Il a fallu que je l’entende le dire pour réaliser », avoue-t-elle, pointant son propre doute comme moteur des mensonges de Jonathann. « Plusieurs fois, avant son arrestation, il a essayé de me parler. Il me disait qu’il irait sans doute en garde à vue, parce qu’il était le mari… Mais moi, je le coupais à chaque fois en disant qu’il racontait n’importe quoi », regrette-t-elle.

Elle dément que son fils ait développé une quelconque idylle avec un détenu.
Même après ses aveux, son cœur de mère s’était, au fond, refusé à voir la réalité en face. Ce que Jonathann aurait senti, comblant son désir en créant de toutes pièces cette fable du complot familial. « Personne ne lui a jamais soufflé cette idée. Il a inventé tout ça en pensant que je serais contente. Et oui, à ce moment-là, j’étais contente », assume Martine Henry.

« J’y ai vraiment cru, j’ai été bête », répète-t-elle d’ailleurs, s’autoflagellant comme pour mieux absoudre son fils de cette faute qui n’est, à ses yeux, rien d’autre qu’un geste d’amour, le cadeau maladroit d’un enfant ne voulant pas décevoir celle qui lui a donné la vie et son affection inconditionnelle. L’épreuve du procès terminée, ce « grand déballage » lors duquel les problèmes intimes du couple, jusqu’aux troubles de l’érection de Jonathann, ont été étalés, ce dernier a été transféré à la centrale d’Ensisheim (Haut-Rhin).

Un établissement où sont incarcérés plusieurs tueurs en série comme Patrice Alègre, Francis Heaulme ou Guy Georges, avec lequel il boit régulièrement le café. « Ils s’entendent très bien, il discute avec lui comme avec d’autres. Il est très apprécié », assure Martine Henry, qui dément toutefois que son fils ait développé une quelconque idylle avec un détenu. « Ça ne me poserait aucun problème, attention. Mais c’est faux ! » À Ensisheim, l’ancien informaticien s’est recréé une petite routine, soulevant de la fonte et travaillant dans un atelier fabriquant des rallonges électriques. Tous les quinze jours, avec son mari, qui a élevé Jonathann, Martine Henry fait la route pour y enchaîner deux parloirs, samedi après-midi et dimanche matin.

Programme télé et magazine santé
Son fils a des demandes modestes : le programme télé et un magazine santé. À Noël — seul moment où les familles peuvent amener de la nourriture, il a souhaité… des graines. « Graines de lin, graines de courge, liste Martine Henry. Il adore ça ! »

Jamais, toutefois, ils n’évoquent les faits. « Les seules fois où j’ai essayé, il s’est mis à pleurer… Alors je lui parle de la vie dehors, de ses neveux et nièces », dit-elle, laissant le soin aux psychologues de mener avec lui ce travail spécifique. « Jonathann a encore un blocage dans sa tête pour comprendre ce qu’il a fait, c’est compliqué. »

Avec les remises de peine, ce dernier peut pourtant espérer sortir dès 2030. « On ne se projette pas, coupe Martine Henry. On vit au jour le jour. » Et tant pis pour ses rêves d’installation dans le Sud, ou de grandes vacances qui lui feraient rater un parloir.

Celle à qui on a pu reprocher de n’avoir jamais coupé le cordon, au point que son fils, à 29 ans, venait la voir en cachette deux fois par jour — « le midi et pour goûter » — ne conçoit pas son rôle de mère autrement. « Je serai toujours là pour Jonathann. C’est mon enfant, ma chair, ma vie ! » s’enflamme-t-elle, alors que, justement, son téléphone vibre. Les joues rosies, sourire aux lèvres, elle s’empresse de décrocher : « Allô, Jonathann… ? »
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JD sera absent de son procès demain pour dénonciation calomnieuse.
Le procès a été dur pour lui, il ne veut pas se remontrer, il fait confiance à son avocat...

Sinon, tout l'entretien est lunaire : il va bien, il a repris du poids, il prend le café avec Guy Georges et tutti quanti.

Ça doit être dur pour cette femme, mais elle ferait bien de s'abstenir. Les parents d'Alexia n'ont pas, eux, des "salons" de 4 heures pour rencontrer leur fille.

Quand même, la décence et elle, ça fait un peu 2.