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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AVIS DE RECHERCHE-APPELS À TÉMOINS
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Tristanduvar Ven 10 Fév - 12:06
Bonjour,
Je plussoie, il n'a pas le profil à la Lelandais par ex qui ne laisse rien paraître après la disparition d'Arthur Noyer, sorte de clivage.
Elle avait paraît-il, des gros problèmes psychologiques/personnels, le suicide est plus probable nan ?!
Je plussoie, il n'a pas le profil à la Lelandais par ex qui ne laisse rien paraître après la disparition d'Arthur Noyer, sorte de clivage.
Elle avait paraît-il, des gros problèmes psychologiques/personnels, le suicide est plus probable nan ?!
Tristanduvar
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par audoigt Ven 10 Fév - 12:49
C’est Legoff, l’autre patronyme est celui d’un autre cuisinier de Brest.
audoigt
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Ven 10 Fév - 14:02
audoigt a écrit:C’est Legoff, l’autre patronyme est celui d’un autre cuisinier de Brest.
Alors c'est très grave de donner le nom de quelqu'un d'autre.
Kassandra88- Administrateur du forum
-
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Ven 10 Fév - 16:12
Un pervers narcissique ... comme Lelandais
Disparition d’Héléna : « Avec lui je vivais dans la peur », témoigne une ex-petite amie du suspect décédé
Cette Brestoise de 22 ans a croisé, à 19 ans, la route de Sylvain L., le suspect qui s’est suicidé après la disparition de la jeune Héléna Cluyou. Elle livre au sujet de celui qui se faisait surnommer « Sulli » un témoignage effarant.
Laura (son prénom a été modifié) est Brestoise et vient d’avoir 22 ans. À 19 ans, elle a croisé la route de Sylvain L. Il s’agit du suspect qui s’est suicidé après la disparition de la jeune Héléna Cluyou dont le corps aurait été retrouvé carbonisé. Voici son témoignage.
Quand avez-vous rencontré Sylvain L. ?
LAURA. Fin 2019. J’avais été embauchée comme serveuse dans un restaurant du centre-ville où il travaillait comme cuisinier, j’avais 19 ans et je commençais dans ce milieu. Comme cela arrive souvent en restauration, on reste boire un coup après le service. On a commencé à se fréquenter, il venait souvent dormir à la maison. Puis notre relation s’est un peu officialisée et je suis tombée sous sa coupe. Au bout d’un mois, j’ai fini par ne plus rentrer chez moi. Je vivais chez lui sept jours sur sept. C’est à partir de là que l’enfer a commencé.
Que s’est-il passé ?
Dès le moment où je suis arrivée dans son appartement (Sylvain L. habitait déjà dans le quartier de l’Europe mais dans un autre appartement que le dernier en date), il a considéré que je lui appartenais. Je ne pouvais plus faire ce que je voulais. Si je ne faisais pas ce qu’il me disait, il devenait violent. Je vivais dans la peur, je suis devenue complètement soumise et je ne me reconnaissais plus. Il fallait que je l’accompagne faire la fête, quitte à me mettre dans des états où je n’avais plus conscience de rien. J’avais peur de ses réactions, je ne pouvais pas dire non.
Consommiez-vous de l’alcool et des drogues en soirée ?
Je ne prenais pas de drogue avant. Je buvais en soirée, mais ça s’arrêtait là. Parfois, il fallait le suivre dans les toilettes d’une boîte ou un bar, il me prenait par le bras et ne me laissait pas sortir tant que je n’avais pas pris un rail de coke avec lui. Il en prenait énormément. À plusieurs reprises, il m’a aussi donné des cachets pour me détendre, à mettre dans mon verre… Je ne sais pas ce que c’était. J’ai fini à trois reprises aux urgences à l’hôpital. Coma éthylique, overdose de substances ou médicaments… Je ne sais pas exactement.
Comment les choses ont évolué entre vous ?
Je me suis parfois retrouvée enfermée dans l’appartement toute la nuit. C’était lorsqu’il voulait sortir seul ou du moins pas avec moi. Je n’avais pas le double des clés. Je le voyais revenir le lendemain complètement arraché et il n’avait qu’une chose en tête… Je vous laisse deviner quoi. Certaines soirées de fête restent floues dans mon esprit. Je ne me souviens pas de grand-chose, j’étais complètement « déchirée ». Je rentrais épuisée et quand je me réveillais, il était parfois en train d’essayer de me pénétrer. Je recevais des coups de genoux derrière les cuisses et je ne pouvais plus bouger. C’est arrivé à plusieurs reprises. J’ai su plus tard qu’il avait eu dans la même période d’autres relations sexuelles, vraisemblablement non protégées. Ces mois avec lui m’ont paru une éternité.
Comment avez-vous rompu ?
C’est terrible à dire, mais j’ai fait une tentative de suicide. En sortant de boîte, un jour, j’étais tellement sous alcool et drogue que je ne réfléchissais plus. J’ai réussi à partir, comme un automate, seule, sans lui. Un couple d’amis, très inquiet et avec qui j’avais passé un moment ce soir-là, ont prévenu mes parents qui ont compris que j’allais faire une bêtise. Ils m’ont retrouvée de justesse. Ça m’a fait un électrochoc. Mes parents ont toujours été là. J’ai fini par réussir à partir, mais je n’ai jamais porté plainte, j’avais trop peur. Peur de ses réactions. Mon seul objectif était de me sortir de tout ça.
« Quand on le rencontre au début, c’est le bon pote, il est tout sourire, sympa en soirée, mais quand on le côtoie un peu, il apparaît instable et dangereux, manipulateur. »
Laura
Travailliez-vous toujours ensemble après votre séparation ?
Oui, mais les collègues faisaient en sorte que nous n’ayons plus trop de contacts. Lui, dans les premiers temps, n’a pas accepté mon départ. Il a fait du chantage, m’a volé des affaires, m’a menacée, m’a suivie. Il a même réussi à s’introduire chez moi en se cachant dans la cage d’escalier. J’ai réussi à le mettre dehors, mais ça a pris des heures. Finalement, mon patron a pris les choses en mains et lui a fait comprendre qu’il devait me laisser tranquille.
Comment décririez-vous Sylvain L. ?
Quand on le rencontre au début, c’est le bon pote, il est tout sourire, sympa en soirée, mais quand on le côtoie un peu, il apparaît instable et dangereux, manipulateur. Je pense qu’il savait choisir ses proies – il ciblait les faiblesses. Moi j’avais 19 ans, j’étais naïve et fragile, je n’avais pas le caractère que j’ai aujourd’hui.
Comment allez-vous maintenant ?
Aujourd’hui je travaille dans le commerce, et j’ai quitté ce monde de la restauration pour de bon. J’essaye de reconstruire quelque chose, mais c’est toujours compliqué, même si je me sens plus forte. On se sent sali et plus nous-mêmes. Je tente de reprendre une vie normale, le moins douloureusement possible et ça va sûrement prendre des années. Ce qui sera difficile, ce sera de refaire confiance.
Quand vous avez appris la disparition d’Héléna et avez vu le profil du suspect dont on ne connaissait pas encore le nom, qu’avez-vous pensé ?
J’ai tout de suite pensé que c’était lui. Ça correspondait au profil. La seule chose qui m’a interpellée, c’est qu’il n’avait pas le permis à l’époque. J’ai fait des cauchemars. Je pense beaucoup à Héléna et à sa famille. C’est trop facile qu’il soit mort comme ça. Il n’a à répondre de rien et laisse les proches dans l’ignorance de ce qu’il s’est passé. Je suis persuadée que ce n’est pas un accident de voiture. Il l’a mise en confiance et a proposé de la ramener en ayant autre chose en tête. Pour moi, c’est évident.
Il est décédé ce jeudi après deux tentatives de suicide. Que ressentez-vous ?
C’est horrible, mais j’ai ressenti un soulagement. Il ne pourra plus faire de mal à personne.
Connaissiez-vous son passé ?
Les versions changeaient à chaque fois. Finalement je n’ai jamais rien su de lui. Il disait avoir été légionnaire et me montrait un béret avec fierté. Mais je n’y ai jamais cru.
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Disparition d’Héléna : « Avec lui je vivais dans la peur », témoigne une ex-petite amie du suspect décédé
Cette Brestoise de 22 ans a croisé, à 19 ans, la route de Sylvain L., le suspect qui s’est suicidé après la disparition de la jeune Héléna Cluyou. Elle livre au sujet de celui qui se faisait surnommer « Sulli » un témoignage effarant.
Laura (son prénom a été modifié) est Brestoise et vient d’avoir 22 ans. À 19 ans, elle a croisé la route de Sylvain L. Il s’agit du suspect qui s’est suicidé après la disparition de la jeune Héléna Cluyou dont le corps aurait été retrouvé carbonisé. Voici son témoignage.
Quand avez-vous rencontré Sylvain L. ?
LAURA. Fin 2019. J’avais été embauchée comme serveuse dans un restaurant du centre-ville où il travaillait comme cuisinier, j’avais 19 ans et je commençais dans ce milieu. Comme cela arrive souvent en restauration, on reste boire un coup après le service. On a commencé à se fréquenter, il venait souvent dormir à la maison. Puis notre relation s’est un peu officialisée et je suis tombée sous sa coupe. Au bout d’un mois, j’ai fini par ne plus rentrer chez moi. Je vivais chez lui sept jours sur sept. C’est à partir de là que l’enfer a commencé.
Que s’est-il passé ?
Dès le moment où je suis arrivée dans son appartement (Sylvain L. habitait déjà dans le quartier de l’Europe mais dans un autre appartement que le dernier en date), il a considéré que je lui appartenais. Je ne pouvais plus faire ce que je voulais. Si je ne faisais pas ce qu’il me disait, il devenait violent. Je vivais dans la peur, je suis devenue complètement soumise et je ne me reconnaissais plus. Il fallait que je l’accompagne faire la fête, quitte à me mettre dans des états où je n’avais plus conscience de rien. J’avais peur de ses réactions, je ne pouvais pas dire non.
Consommiez-vous de l’alcool et des drogues en soirée ?
Je ne prenais pas de drogue avant. Je buvais en soirée, mais ça s’arrêtait là. Parfois, il fallait le suivre dans les toilettes d’une boîte ou un bar, il me prenait par le bras et ne me laissait pas sortir tant que je n’avais pas pris un rail de coke avec lui. Il en prenait énormément. À plusieurs reprises, il m’a aussi donné des cachets pour me détendre, à mettre dans mon verre… Je ne sais pas ce que c’était. J’ai fini à trois reprises aux urgences à l’hôpital. Coma éthylique, overdose de substances ou médicaments… Je ne sais pas exactement.
Comment les choses ont évolué entre vous ?
Je me suis parfois retrouvée enfermée dans l’appartement toute la nuit. C’était lorsqu’il voulait sortir seul ou du moins pas avec moi. Je n’avais pas le double des clés. Je le voyais revenir le lendemain complètement arraché et il n’avait qu’une chose en tête… Je vous laisse deviner quoi. Certaines soirées de fête restent floues dans mon esprit. Je ne me souviens pas de grand-chose, j’étais complètement « déchirée ». Je rentrais épuisée et quand je me réveillais, il était parfois en train d’essayer de me pénétrer. Je recevais des coups de genoux derrière les cuisses et je ne pouvais plus bouger. C’est arrivé à plusieurs reprises. J’ai su plus tard qu’il avait eu dans la même période d’autres relations sexuelles, vraisemblablement non protégées. Ces mois avec lui m’ont paru une éternité.
Comment avez-vous rompu ?
C’est terrible à dire, mais j’ai fait une tentative de suicide. En sortant de boîte, un jour, j’étais tellement sous alcool et drogue que je ne réfléchissais plus. J’ai réussi à partir, comme un automate, seule, sans lui. Un couple d’amis, très inquiet et avec qui j’avais passé un moment ce soir-là, ont prévenu mes parents qui ont compris que j’allais faire une bêtise. Ils m’ont retrouvée de justesse. Ça m’a fait un électrochoc. Mes parents ont toujours été là. J’ai fini par réussir à partir, mais je n’ai jamais porté plainte, j’avais trop peur. Peur de ses réactions. Mon seul objectif était de me sortir de tout ça.
« Quand on le rencontre au début, c’est le bon pote, il est tout sourire, sympa en soirée, mais quand on le côtoie un peu, il apparaît instable et dangereux, manipulateur. »
Laura
Travailliez-vous toujours ensemble après votre séparation ?
Oui, mais les collègues faisaient en sorte que nous n’ayons plus trop de contacts. Lui, dans les premiers temps, n’a pas accepté mon départ. Il a fait du chantage, m’a volé des affaires, m’a menacée, m’a suivie. Il a même réussi à s’introduire chez moi en se cachant dans la cage d’escalier. J’ai réussi à le mettre dehors, mais ça a pris des heures. Finalement, mon patron a pris les choses en mains et lui a fait comprendre qu’il devait me laisser tranquille.
Comment décririez-vous Sylvain L. ?
Quand on le rencontre au début, c’est le bon pote, il est tout sourire, sympa en soirée, mais quand on le côtoie un peu, il apparaît instable et dangereux, manipulateur. Je pense qu’il savait choisir ses proies – il ciblait les faiblesses. Moi j’avais 19 ans, j’étais naïve et fragile, je n’avais pas le caractère que j’ai aujourd’hui.
Comment allez-vous maintenant ?
Aujourd’hui je travaille dans le commerce, et j’ai quitté ce monde de la restauration pour de bon. J’essaye de reconstruire quelque chose, mais c’est toujours compliqué, même si je me sens plus forte. On se sent sali et plus nous-mêmes. Je tente de reprendre une vie normale, le moins douloureusement possible et ça va sûrement prendre des années. Ce qui sera difficile, ce sera de refaire confiance.
Quand vous avez appris la disparition d’Héléna et avez vu le profil du suspect dont on ne connaissait pas encore le nom, qu’avez-vous pensé ?
J’ai tout de suite pensé que c’était lui. Ça correspondait au profil. La seule chose qui m’a interpellée, c’est qu’il n’avait pas le permis à l’époque. J’ai fait des cauchemars. Je pense beaucoup à Héléna et à sa famille. C’est trop facile qu’il soit mort comme ça. Il n’a à répondre de rien et laisse les proches dans l’ignorance de ce qu’il s’est passé. Je suis persuadée que ce n’est pas un accident de voiture. Il l’a mise en confiance et a proposé de la ramener en ayant autre chose en tête. Pour moi, c’est évident.
Il est décédé ce jeudi après deux tentatives de suicide. Que ressentez-vous ?
C’est horrible, mais j’ai ressenti un soulagement. Il ne pourra plus faire de mal à personne.
Connaissiez-vous son passé ?
Les versions changeaient à chaque fois. Finalement je n’ai jamais rien su de lui. Il disait avoir été légionnaire et me montrait un béret avec fierté. Mais je n’y ai jamais cru.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sortcière Ven 10 Fév - 17:53
Merci Kass,
"La seule chose qui m’a interpellée, c’est qu’il n’avait pas le permis à l’époque." dit cette Brestoise.
Du temps où elle le fréquentais je suppose ? Ou bien savait-elle qu'il avait perdu son permis ?
Moi ce qui m'a interpellée c'est qu'il ait toujours son permis et n'ai jamais été contrôlé pour alcoolémie et stups ... Un permis de conduire passé très récemment ?
Héléna était une proie facile sur son chemin pour cet individu.
"La seule chose qui m’a interpellée, c’est qu’il n’avait pas le permis à l’époque." dit cette Brestoise.
Du temps où elle le fréquentais je suppose ? Ou bien savait-elle qu'il avait perdu son permis ?
Moi ce qui m'a interpellée c'est qu'il ait toujours son permis et n'ai jamais été contrôlé pour alcoolémie et stups ... Un permis de conduire passé très récemment ?
Héléna était une proie facile sur son chemin pour cet individu.
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sortcière Ven 10 Fév - 18:05
Oups ! je pense être arrivée à copier par hasard un bout de l'article qui est pour abonnés ...
Sylvain L., qui se faisait appeler Sulli Le Goff sur Facebook (un alias), était-il à la fois un homme charmant mais aussi violent ? Le beau gosse, qui va tenter par deux fois de se suicider après la disparition d’Héléna, faisait, en tout cas, beaucoup parler de lui. Et pas que pour son addiction au sexe.
Une de ses voisines, dans la barre d’immeuble du Dourjacq, où il résidait, se souvient très bien de ce locataire arrivé en août 2022 et qui « rentrait à pas d’heure, rarement dans son état normal. Dans l’appartement, ça tournait souvent aux scènes de ménage. Il y a un mois, on l’a tous entendu battre sa compagne qui avait une petite vingtaine d’années » déclare la témoin, qui a assisté à la descente de police pour mettre fin à la dispute.
« On sentait qu’il avait un passif lourd… »
Sulli, un homme à la main lourde ? « Franchement, on est tous dans l’incompréhension. Avait-il une double personnalité, a-t-il vrillé ? On n’arrive pas à croire que l’on se soit trompé à ce point sur lui. OK, il pouvait partir dans une alcoolisation excessive et être sous produits. On sentait qu’il avait un passif lourd et qu’il cherchait à évacuer quelque chose d’enfoui en lui pour dériver à ce point. Mais c’est quelqu’un qui a toujours été très respectueux et bienveillant avec les femmes. Je n’ai jamais vu un geste déplacé de sa part. Au contraire, Sylvain était quelqu’un de doux et d’hypersensible », témoigne une amie.
À lire sur le sujet
Disparition d’Héléna Cluyou : « Les filles, il ne pensait qu’à ça »
Le cuisinier était-il cet ancien soldat de la Légion étrangère, seul survivant d’une section décimée au Soudan, comme il aimait le raconter ? « Il s’inventait des vies. S’il est passé par la Légion, il n’a pas dû y rester longtemps. Il ne faisait pas le poids », estime, pour sa part, un restaurateur qui en parle comme d’un baratineur capable « d’embobiner tout le monde ».
Il avait une manière d’être très flippante qui ne me rassurait pas.
Prévenant et flippant
« Il avait une manière d’être très flippante qui ne me rassurait pas, raconte le copain d’une de ses ex, croisé à l’été 2020. Mais, avec les femmes, il a toujours été très prévenant. Il avait même un côté très protecteur avec elles. Une fois, des types ont commencé à embêter des filles, bas de Siam. Il s’est interposé et ils ont tous passé un sale quart d’heure ».
D’autres témoignages, recueillis auprès du milieu de la restauration et de la nuit, dressent le portrait d’un homme glissant clairement vers la toxicomanie, notamment depuis la période de confinement liée à la covid.
« Il avait un sacré penchant pour les produits illicites, qu’il consommait quotidiennement, je pense » rapporte un témoin. « Il pouvait aller très loin. Il était sans limite », raconte un autre familier, expliquant que le suspect avait clairement basculé dans les drogues dures : héroïne, cocaïne, MDMA… « J’ai coupé les ponts. C’était trop pour moi. Il était trop présent dans ma vie, trop envahissant », relève un autre proche ayant partagé ses excès pendant deux ans.
« Très porté sur les jeunes femmes »
Sulli, le gars sympa, plein de bagou, a priori cultivé, « était aussi du genre à rouler complètement ivre, sous stupéfiants, et sans permis. Du genre aussi à partager des vidéos de ses ébats sexuels, parfois à plusieurs, à son carnet d’adresses, sans l’aval de ses conquêtes. Sulli, il dormait peu, s‘alcoolisait beaucoup. Il était impossible à canaliser ! », rapporte un de ses anciens formateurs en cuisine.
Le beau gosse « très séducteur, très gentil » avait clairement « une aura » auprès de la gent féminine et le savait. « Il était très porté sur les jeunes femmes », témoigne un ancien employeur expliquant qu’il allait notamment « faire son marché parmi les étudiantes des Beaux-Arts ». Une frénésie sexuelle qui devenait de plus en plus dérangeante, selon un autre interlocuteur, relevant qu’il ne s’embarrassait pas de l’âge de ses conquêtes : « Les mineures, ça ne le dérangeait pas du tout ».
Était-il capable de repérer une jeune femme en soirée pour ensuite, un peu plus tard, aller forcer le destin ? Oui ! Mais de là à faire du mal à quelqu’un...
« Je l‘avais revu dernièrement. Je lui ai demandé s’il avait arrêté ses conneries. Il m’avait juré qu’il s’était calmé », rapporte un aîné en cuisine. « Était-il capable de repérer une jeune femme en soirée pour ensuite, un peu plus tard, aller forcer le destin ? Oui ! Mais de là à faire du mal à quelqu’un… Je pense qu’il avait un problème avec les filles », glisse le professionnel, qui se souvient de la technique de drague assez rodée du suspect. « Au petit matin, il aimait bien emmener les jeunes femmes sur la côte, au Petit Minou ou à la Pointe Saint-Mathieu… ».
« Sulli, c’est sûr, il n’avait pas froid aux yeux avec les filles, ponctue le quinquagénaire. Il était attiré par les plus jeunes. C’était un chasseur. L’alcool, les stupéfiants, le sexe : il mélangeait le tout et n’avait aucune limite. Il lui en fallait toujours plus ».
La disparition d’Héléna Cluyou à Brest
Dossier
La disparition d’Héléna Cluyou à Brest
Affaire Héléna Cluyou : le suspect, une grenade dégoupillée
À Brest, des anonymes ont déposé un bouquet de fleurs à la mémoire d’Héléna
Affaire Héléna Cluyou : à Argol, un sous-bois « à l’abri des regards » [Vidéo]
Affaire Héléna : un corps au bout des recherches
Affaire Héléna : après la mort du suspect, le mystère reste entier
Sylvain L., qui se faisait appeler Sulli Le Goff sur Facebook (un alias), était-il à la fois un homme charmant mais aussi violent ? Le beau gosse, qui va tenter par deux fois de se suicider après la disparition d’Héléna, faisait, en tout cas, beaucoup parler de lui. Et pas que pour son addiction au sexe.
Une de ses voisines, dans la barre d’immeuble du Dourjacq, où il résidait, se souvient très bien de ce locataire arrivé en août 2022 et qui « rentrait à pas d’heure, rarement dans son état normal. Dans l’appartement, ça tournait souvent aux scènes de ménage. Il y a un mois, on l’a tous entendu battre sa compagne qui avait une petite vingtaine d’années » déclare la témoin, qui a assisté à la descente de police pour mettre fin à la dispute.
« On sentait qu’il avait un passif lourd… »
Sulli, un homme à la main lourde ? « Franchement, on est tous dans l’incompréhension. Avait-il une double personnalité, a-t-il vrillé ? On n’arrive pas à croire que l’on se soit trompé à ce point sur lui. OK, il pouvait partir dans une alcoolisation excessive et être sous produits. On sentait qu’il avait un passif lourd et qu’il cherchait à évacuer quelque chose d’enfoui en lui pour dériver à ce point. Mais c’est quelqu’un qui a toujours été très respectueux et bienveillant avec les femmes. Je n’ai jamais vu un geste déplacé de sa part. Au contraire, Sylvain était quelqu’un de doux et d’hypersensible », témoigne une amie.
À lire sur le sujet
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Le cuisinier était-il cet ancien soldat de la Légion étrangère, seul survivant d’une section décimée au Soudan, comme il aimait le raconter ? « Il s’inventait des vies. S’il est passé par la Légion, il n’a pas dû y rester longtemps. Il ne faisait pas le poids », estime, pour sa part, un restaurateur qui en parle comme d’un baratineur capable « d’embobiner tout le monde ».
Il avait une manière d’être très flippante qui ne me rassurait pas.
Prévenant et flippant
« Il avait une manière d’être très flippante qui ne me rassurait pas, raconte le copain d’une de ses ex, croisé à l’été 2020. Mais, avec les femmes, il a toujours été très prévenant. Il avait même un côté très protecteur avec elles. Une fois, des types ont commencé à embêter des filles, bas de Siam. Il s’est interposé et ils ont tous passé un sale quart d’heure ».
D’autres témoignages, recueillis auprès du milieu de la restauration et de la nuit, dressent le portrait d’un homme glissant clairement vers la toxicomanie, notamment depuis la période de confinement liée à la covid.
« Il avait un sacré penchant pour les produits illicites, qu’il consommait quotidiennement, je pense » rapporte un témoin. « Il pouvait aller très loin. Il était sans limite », raconte un autre familier, expliquant que le suspect avait clairement basculé dans les drogues dures : héroïne, cocaïne, MDMA… « J’ai coupé les ponts. C’était trop pour moi. Il était trop présent dans ma vie, trop envahissant », relève un autre proche ayant partagé ses excès pendant deux ans.
« Très porté sur les jeunes femmes »
Sulli, le gars sympa, plein de bagou, a priori cultivé, « était aussi du genre à rouler complètement ivre, sous stupéfiants, et sans permis. Du genre aussi à partager des vidéos de ses ébats sexuels, parfois à plusieurs, à son carnet d’adresses, sans l’aval de ses conquêtes. Sulli, il dormait peu, s‘alcoolisait beaucoup. Il était impossible à canaliser ! », rapporte un de ses anciens formateurs en cuisine.
Le beau gosse « très séducteur, très gentil » avait clairement « une aura » auprès de la gent féminine et le savait. « Il était très porté sur les jeunes femmes », témoigne un ancien employeur expliquant qu’il allait notamment « faire son marché parmi les étudiantes des Beaux-Arts ». Une frénésie sexuelle qui devenait de plus en plus dérangeante, selon un autre interlocuteur, relevant qu’il ne s’embarrassait pas de l’âge de ses conquêtes : « Les mineures, ça ne le dérangeait pas du tout ».
Était-il capable de repérer une jeune femme en soirée pour ensuite, un peu plus tard, aller forcer le destin ? Oui ! Mais de là à faire du mal à quelqu’un...
« Je l‘avais revu dernièrement. Je lui ai demandé s’il avait arrêté ses conneries. Il m’avait juré qu’il s’était calmé », rapporte un aîné en cuisine. « Était-il capable de repérer une jeune femme en soirée pour ensuite, un peu plus tard, aller forcer le destin ? Oui ! Mais de là à faire du mal à quelqu’un… Je pense qu’il avait un problème avec les filles », glisse le professionnel, qui se souvient de la technique de drague assez rodée du suspect. « Au petit matin, il aimait bien emmener les jeunes femmes sur la côte, au Petit Minou ou à la Pointe Saint-Mathieu… ».
« Sulli, c’est sûr, il n’avait pas froid aux yeux avec les filles, ponctue le quinquagénaire. Il était attiré par les plus jeunes. C’était un chasseur. L’alcool, les stupéfiants, le sexe : il mélangeait le tout et n’avait aucune limite. Il lui en fallait toujours plus ».
La disparition d’Héléna Cluyou à Brest
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La disparition d’Héléna Cluyou à Brest
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Affaire Héléna : un corps au bout des recherches
Affaire Héléna : après la mort du suspect, le mystère reste entier
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Ven 10 Fév - 18:06
Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sortcière Ven 10 Fév - 18:41
Tu as raison ...
Je pense toutefois qu'il s'est suicidé dès le premier meurtre et avant de tomber dans la déchéance et le clivage parfait de Lelandais qui lui a permis de passer entre les gouttes et de réitérer.
Décidemment ! alcool + drogues dures n'arrangent pas la personnalité. Si on y ajoute en plus le viagra quand on arrive plus à b. ça devient détonnant.
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sortcière Ven 10 Fév - 18:42
Oh ben ! on vient de me demander si je ne suis pas un robot pour pouvoir poster mon commentaire ! lol
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Lisetoct Ven 10 Fév - 20:26
Les pires criminels ne sont pas sous influence de produits stupéfiants ou d'alcool . Ceux-là , on les retrouve assez vite .
Lisetoct
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Tristanduvar Ven 10 Fév - 21:04
Le principal suspect dans l'affaire de la disparition d'Héléna Cluyou, dans le Finistère, est décédé ce jeudi après une double tentative de suicide. Si l'autopsie révèle son implication, il sera difficile de rendre justice à la jeune femme.
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Frustration!
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Frustration!
« À aucun moment, vous n’avez envisagé que cette viande dans le frigo... soit votre mère ? »
Tristanduvar
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Lisetoct Ven 10 Fév - 21:32
Le type, il a tellement honte de ce qu'il a pu faire subir à Héléna qu'il se suicide . Un lâche qui s'attaque à une jeune femme seule ,Tristanduvar a écrit:Le principal suspect dans l'affaire de la disparition d'Héléna Cluyou, dans le Finistère, est décédé ce jeudi après une double tentative de suicide. Si l'autopsie révèle son implication, il sera difficile de rendre justice à la jeune femme.
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Frustration!
la barbarie . Où sont ses parents , ceux qui l'ont éduqué ?
Lisetoct
Héléna Cluyou
par ruth Sam 11 Fév - 9:31
Bonjour à tous,
J'ai bien peur que la crémation du cadavre et de sa voiture n'aient servi à dissimuler aussi un viol.
Je ne crois guère à l'accident complètement involontaire, même sous alcool et substances. Il peut y avoir délit de fuite, mais il y a des traces de l'accident et on ne retrouve pas toute cette mise en scène macabre.
À moins d'une improbable complicité, il n'y aura pas de Justice pour cette malheureuse jeune femme.
À 20 ans, on a souvent un sentiment de force et pas vraiment le sens du danger, surtout avec peut-être un ou deux verres.
C'était au siècle dernier, dans une banlieue assez tranquille et endormie. Plutôt que de prendre un taxi, je rentrais à pied, depuis le terminus du métro, après l'arrêt des bus.
Un kilomètre où, pour éviter d'en faire plus du double, je longeais des friches qui bordaient l'autoroute, des fabriques désaffectées et divers campements...
Il ne m'y est jamais rien arrivé, mais le pire aurait pu se produire.
Rappelez aux jeunes gens autour de vous qu'une course en taxi/uber, un retour avec des amis, dormir chez eux, vous donner rv, ce sont toujours de meilleures solutions.
J'ai bien peur que la crémation du cadavre et de sa voiture n'aient servi à dissimuler aussi un viol.
Je ne crois guère à l'accident complètement involontaire, même sous alcool et substances. Il peut y avoir délit de fuite, mais il y a des traces de l'accident et on ne retrouve pas toute cette mise en scène macabre.
À moins d'une improbable complicité, il n'y aura pas de Justice pour cette malheureuse jeune femme.
À 20 ans, on a souvent un sentiment de force et pas vraiment le sens du danger, surtout avec peut-être un ou deux verres.
C'était au siècle dernier, dans une banlieue assez tranquille et endormie. Plutôt que de prendre un taxi, je rentrais à pied, depuis le terminus du métro, après l'arrêt des bus.
Un kilomètre où, pour éviter d'en faire plus du double, je longeais des friches qui bordaient l'autoroute, des fabriques désaffectées et divers campements...
Il ne m'y est jamais rien arrivé, mais le pire aurait pu se produire.
Rappelez aux jeunes gens autour de vous qu'une course en taxi/uber, un retour avec des amis, dormir chez eux, vous donner rv, ce sont toujours de meilleures solutions.
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Sam 11 Fév - 10:26
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Héléna Cluyou
par Kassandra88 Sam 11 Fév - 13:05
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Ophélie Bretnacher. Je n'ai jamais cru à un accident.
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sybil Sam 11 Fév - 13:16
Merci pour l’article Kassandra. C’est quand même curieux non ? Qu’est ce qu’ils fabriquaient là ?
Sybil
Héléna Cluyou
par Kassandra88 Sam 11 Fév - 14:17
ruth a écrit:Bonjour à tous,
J'ai bien peur que la crémation du cadavre et de sa voiture n'aient servi à dissimuler aussi un viol.
Bonjour Ruth,
Voilà ce que dit le Parisien
Selon le procureur de la République de Brest à l’occasion d’une conférence de presse, d’après les premières constatations, « le corps a été brûlé après le décès ». Pour l’heure, l’autopsie réalisée « n’a pas permis de déterminer avec précisions la cause du décès », a-t-il complété, mais « l’état du corps n’a pas permis de repérer des traces tangibles de violences, peut-être que les analyses à venir nous permettront d’en savoir davantage ».
Il a cependant évoqué une procédure ancienne classée sans suite pour harcèlement sexuel en 2017.
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sortcière Sam 11 Fév - 14:43
Kassandra88 a écrit:Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Ophélie Bretnacher. Je n'ai jamais cru à un accident.
Bonjour Kass,
Je suis allée me rafraichir la mémoire sur cette affaire.
(Pour ceux qui veulent se remémorer :https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Oph%C3%A9lie_Bretnacher )
Pour Héléna des traces du séjour de son corps dans le coffre de la voiture incendiées ont été retrouvées. Donc il a pu garder le corps plusieurs jours dans le coffre avant de décider de s'en débarrasser et de le brûler, puis d'incendier sa voiture.
J'ai lu (je ne sais plus où) que le corps n'était qu'à moitié carbonisé. J'espère que les analyses complémentaires en apprendront plus. En tout cas l'autopsie ne révèle pas à priori des blessures ou fractures pouvant résulter du choc avec une voiture.
Dans l'affaire Daval aussi on nous avait parlé d'un corps carbonisé, hors il ne l'était que très partiellement.
Sortcière
Héléna Cluyou
par Kassandra88 Sam 11 Fév - 23:58
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Sylvain Legrand et non Le Goff.
Héléna a séjourné dans le coffre de la voiture de Sylvain.
Marielle Smits, une ex-compagne du cuisinier de 36 ans, a témoigné sur BFM TV sur sa relation avec l'homme.
Elle a raconté avoir été violée à plusieurs reprises et a confié que Sylvain L. consommait des stupéfiants et de l'alcool à l'époque de leur relation.
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Dim 12 Fév - 13:52
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Sybil Jeu 16 Fév - 20:58
Personne ne parle de cette femme découpée en plusieurs morceaux, retrouvée aux Buttes-Chaumont ? Ou alors je n'ai pas trouvé le topic...
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Bref : Assia, une mère de famille, 46 ans, 3 enfants. C'est un des gosses qui a lancé un avis de disparition sur FB, pas le père...
Oui, pourquoi avoir attendu 6 jours avant d'alerter la police ? Une mère de famille avec notamment un enfant de 8 ans, on s'alarme assez rapidement non ? ça veut dire quoi "dépassé par les évènements" !?
Cela me rappelle furieusement l'horrible compagnon d'Aurélie Vaquier qui lui avait attendu 26 jours avant de prévenir de la disparition de la jeune femme.
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Bref : Assia, une mère de famille, 46 ans, 3 enfants. C'est un des gosses qui a lancé un avis de disparition sur FB, pas le père...
Bizarre pour la CB et le tél éteint.La victime n'a plus donné signe de vie depuis le 31 janvier 2023. Elle avait sa pièce d'identité sur elle. En revanche, sa carte bancaire et son passeport étaient restés à son domicile. Son téléphone portable est resté éteint depuis sa disparition.
Le mari d'Assia, Youcef, a été entendu par les policiers mardi. S'il était effondré face aux enquêteurs, il n'a pas pleuré, indique RMC. Pourquoi a-t-il attendu six jours avant d'alerter la police de la disparition de sa femme ? Il s'est dit "dépassé par les événements". Le domicile de la famille a été perquisitionné. Quelques traces de sang ont été retrouvées près de la salle de bains et de la cuisine mais il s'agirait de "tâches courantes". Une autopsie a été pratiquée mercredi.
Oui, pourquoi avoir attendu 6 jours avant d'alerter la police ? Une mère de famille avec notamment un enfant de 8 ans, on s'alarme assez rapidement non ? ça veut dire quoi "dépassé par les évènements" !?
Cela me rappelle furieusement l'horrible compagnon d'Aurélie Vaquier qui lui avait attendu 26 jours avant de prévenir de la disparition de la jeune femme.
Sybil
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Mer 22 Fév - 15:52
Sybil a écrit:Personne ne parle de cette femme découpée en plusieurs morceaux, retrouvée aux Buttes-Chaumont ? Ou alors je n'ai pas trouvé le topic...
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Bref : Assia, une mère de famille, 46 ans, 3 enfants. C'est un des gosses qui a lancé un avis de disparition sur FB, pas le père...Bizarre pour la CB et le tél éteint.La victime n'a plus donné signe de vie depuis le 31 janvier 2023. Elle avait sa pièce d'identité sur elle. En revanche, sa carte bancaire et son passeport étaient restés à son domicile. Son téléphone portable est resté éteint depuis sa disparition.Le mari d'Assia, Youcef, a été entendu par les policiers mardi. S'il était effondré face aux enquêteurs, il n'a pas pleuré, indique RMC. Pourquoi a-t-il attendu six jours avant d'alerter la police de la disparition de sa femme ? Il s'est dit "dépassé par les événements". Le domicile de la famille a été perquisitionné. Quelques traces de sang ont été retrouvées près de la salle de bains et de la cuisine mais il s'agirait de "tâches courantes". Une autopsie a été pratiquée mercredi.
Oui, pourquoi avoir attendu 6 jours avant d'alerter la police ? Une mère de famille avec notamment un enfant de 8 ans, on s'alarme assez rapidement non ? ça veut dire quoi "dépassé par les évènements" !?
Cela me rappelle furieusement l'horrible compagnon d'Aurélie Vaquier qui lui avait attendu 26 jours avant de prévenir de la disparition de la jeune femme.
Bonjour Sybil,
Si, sur la page "dépeceur de Mons" .
Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
par Kassandra88 Mer 22 Fév - 16:00
Kassandra88- Administrateur du forum
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