Une rubrique qui parle des émissions télé et radio à venir et des livres à paraître

Bonjour,

Aujourd'hui dans l'heure du crime sur RTL, l'affaire Lucie Blackman

En juillet 2000, la Britannique Lucie Blackman disparaît à Tokyo, où elle travaillait dans un club de la ville fréquenté par des hommes d'affaires. Son corps démembré est retrouvé, sept mois plus tard à Zushi, dans la préfecture de Kanagawa.

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Kassandra88 a écrit:

welty a écrit:Bonjour,

Aujourd'hui dans l'heure du crime sur RTL, l'affaire Lucie Blackman

En juillet 2000, la Britannique Lucie Blackman disparaît à Tokyo, où elle travaillait dans un club de la ville fréquenté par des hommes d'affaires. Son corps démembré est retrouvé, sept mois plus tard à Zushi, dans la préfecture de Kanagawa.

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Merci Welty.
Cette sordide affaire met en lumière le peu d'empressement de la justice japonaise surtout lorsqu'il s'agit de rechercher une étrangère. Ce n'est pas les parents de Tiphaine Véron qui vont me contredire.
Un procès qui dure 6 ans: inconcevable ici.
Quand je vois les moyens mis en oeuvre au Chili pour tenter de retrouver la jeune Belge disparue ...
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Je suis toujours choquée par le peu d'intérêt de la police et de la justice japonaise pour les affaires de disparition ! Même lorsque celles-ci sont très suspectes...

welty a écrit:

Kassandra88 a écrit:

welty a écrit:Bonjour,

Aujourd'hui dans l'heure du crime sur RTL, l'affaire Lucie Blackman

En juillet 2000, la Britannique Lucie Blackman disparaît à Tokyo, où elle travaillait dans un club de la ville fréquenté par des hommes d'affaires. Son corps démembré est retrouvé, sept mois plus tard à Zushi, dans la préfecture de Kanagawa.

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Merci Welty.
Cette sordide affaire met en lumière le peu d'empressement de la justice japonaise surtout lorsqu'il s'agit de rechercher une étrangère. Ce n'est pas les parents de Tiphaine Véron qui vont me contredire.
Un procès qui dure 6 ans: inconcevable ici.
Quand je vois les moyens mis en oeuvre au Chili pour tenter de retrouver la jeune Belge disparue ...
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Je suis toujours choquée par le peu d'intérêt de la police et de la justice japonaise pour les affaires de disparition ! Même lorsque celles-ci sont très suspectes...

Bonsoir Welty,
 Ce sera un choc de civilisations alors parce que pour les Japonais c'est pas un problème du tout . Faut comprendre que la société japonaise , c'est pas la nôtre. Des codes différents y sont à l'oeuvre.Et je sais cela par expérience personnelle.
Je t'écris en mp.

Aude Bariety, chronosueuse judiciaire au Figaro, a assisté aux 2 procès.

Elle a déjà écrit cet ouvrage sur le procès Noyer.

Le podcast Hondelatte Raconte en a fait un épisode.


Récit et entretien avec Aude Bariety

L'Heure du Crime (@LHeureDuCrime) Tweeted:
"Le Grêlé, le tueur était un flic". En exclusivité @Patourancheau  viendra présenter son nouveau livre à 14h30 sur @RTLFrance. :radio: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

À 14h30, sur RTL

ruth a écrit:L'Heure du Crime (@LHeureDuCrime) Tweeted:
"Le Grêlé, le tueur était un flic". En exclusivité @Patourancheau  viendra présenter son nouveau livre à 14h30 sur @RTLFrance. :radio: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

À 14h30, sur RTL

Replay

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Très intéressante émission

Une chaîne YT évoquant des disparitions:
Marine B.

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Ça commence aujourd'hui
Suicide, accident... et si le crime avait été maquillé ?
diffusé le 05/05
58 min

Cours criminelles, de Laetitia Ohnona (France, 2022, 52 min), coproduction Memento/LCP/France 3, LCP, mercredi 1er juin à 20 h 30 et sur Lcp.fr
TÉLÉVISIONS & RADIO
« Cours criminelles », sur LCP : assister à l’audience d’un crime jugé sans jurés
La journaliste Laetitia Ohnona a pu filmer dans son intégralité, un procès de viol incestueux devant un tribunal de seuls magistrats professionnels. Une première exemplaire.
Par Simon Auffret / Le Monde.


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« Il est moins cinq… »

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Enquête sur le Dépeceur de Mons
Morgan VANLERBERGHE, enquêteur
Dani CORLANA, mise en textes


PRÉFACE
« Maître, il faut que vous veniez d’urgence à la prison, votre client L. est intenable. Il s’est enfermé dans sa cellule et casse tout le mobilier. Essayez de faire quelque chose… »
C’est ainsi que je me rendis, fin décembre 1997, à la prison de Mons, appelé par la direction.
L. m’attendait, en larmes. Au premier regard, je ne pus distinguer si c’était de tristesse ou de rage.
Ce fut les deux à la fois.
Des inspecteurs venaient de l’interroger. Ils lui ont présenté des photographies. Un tronc. Découpé. On lui dit que c’est celui de sa mère. Le labo est formel. L. est détenu. Donc il peut être suspect.
Le jeune homme n’avait plus de nouvelle de sa mère depuis un an. C’en était trop.
Il a pleuré, explosé, tout cassé.
Ces réactions ont vite convaincu les policiers de le rayer de la liste des suspects.
Derrière cette pratique, qui peut paraître inhumaine, se cachaient déjà les prémisses d’une enquête difficile.
25 ans plus tard, L. pleure encore. Parfois. Sa rage s’est atténuée. Le temps a fait son œuvre. Mais la plaie est toujours là. Elle se réouvre de temps en temps, au rythme des articles, des émissions tv qui traitent du « dépeceur de MONS ».
Alors pourquoi un énième livre ? Au risque de faire saigner cette blessure que L. a en commun avec les parents des autres victimes ?
J’ai lu et vu à peu près tout ce qui a été écrit, dit et diffusé sur cette « affaire ». Plus que cela, j’ai compulsé les milliers de pages du dossier à l’instruction.
Ce que les auteurs du présent ouvrage nous livrent est différent.
C’est sans doute le seul qui donne la parole aux victimes. Celles de l’au-delà qui ne peuvent plus se défendre. Et puis les autres, qu’on qualifie de « collatérales ». Les enfants. Les sœurs.
Les auteurs, dans ce travail remarquable d’enquête, ont créé une sorte de « symbiose littéraire » avec les victimes. Chacun a été nourri par l’autre. Les victimes dans leur travail de deuil. Les auteurs dans leurs recherches.
Un livre pour les victimes. Par les victimes. Avec les victimes.
Ce livre fait parler également les enquêteurs, les témoins, les journalistes et tous ceux qui ont, de près ou de loin, vécu cette enquête de l’intérieur.
Les auteurs se sont « fondus dans l’ambiance » comme ils aiment à l’écrire. Et cela se ressent à chaque page. Derrière ces lignes, on devine une grande capacité d’écoute. C’est probablement la première qualité d’un bon journaliste.
Et d’un enquêteur. Car quelle pugnacité pour comprendre et faire avancer cette enquête, dont on avait dit qu’elle était arrivée au bout de ses possibilités, depuis la dissolution de la cellule Corpus !
Les auteurs font le point sur l’enquête, certes, mais proposent également des pistes peu ou pas explorées (dont celle, hallucinante, d’un étrange personnage fantôme..) , qui font de ce livre un ouvrage que l’on ne peut refermer, tant il est haletant, mais aussi parce qu’il laisse place à l’espoir.
Espoir qu’un lecteur, au détour d’une de ces pages, se rappelle d’un détail, d’un petit indice qui permettrait de faire redémarrer le dossier.
Le livre que vous tenez dans les mains DOIT rester ouvert. Les proches des victimes comptent sur vous.
Frank DISCEPOLI, Avocat.
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ARGUMENTATION
L’affaire dite du dépeceur de Mons est UNIQUE au monde
Un travail minutieux de recherche a été effectué qui permet de l’affirmer. Cinq victimes découpées en morceaux. Cinq femmes présentant des profils fort similaires.
Un court laps de temps : les faits se déroulent sur deux ans. Les faits ont eu lieu dans un petit périmètre. Le dépeçage en série est une « première ».

Portée unique
La dimension du livre est unique car il doit sortir 5 ans jour pour jour avant la prescription de l’affaire.
Relancer des investigations d'une manière originale en faisant appel aux personnes qui relisant le récit d'une enquête menée différemment pourraient retrouver des souvenirs enfouis.

Le regard se veut novateur. La criminologie a progressé depuis 25 ans (date de l'affaire). La science et le domaine des expertises ont évolué. Les techniques ne sont plus les mêmes et s’il reste une possibilité de confondre le ou les meurtriers, elle se situe d’une part dans la possibilité d’analyses nouvelles et, d’autre part, dans la recherche de tout nouvel indice.
.
Le livre démonte certaines thèses et en échafaude d’autres à la lumière des propos recueillis.

En tout état de cause, l’approche évolue. Les études de plus en plus précises cernent la personnalité de chaque tueur. Une banque de données accessible à la majorité des polices internationales recueille et recoupe les constatations et analyses

Pas de sensationnalisme, mais du réel, du vérifiable, de l'authentique. Le livre plonge le lecteur au cœur de l'enquête.
Les ouvrages déjà consacrés à l’affaire
Il n’est peut-être pas bienvenu de comparer notre travail avec les livres déjà consacrés à cette affaire, mais force est de constater que ces livres édités à ce jour n'ont fait que résumer l'histoire du dépeceur en collectant et en regroupant toutes les informations parues dans les médias.
Les auteurs se sont contentés de reproduire ou d’adapter tout ce qui était déjà connu.
Aucun de ces auteurs n’a pris la peine d’investiguer, de chercher des témoins, de prévenir les familles des victimes, d’arpenter les lieux des découvertes…

Cette façon simpliste d’aborder l’affaire peut justifier le manque d’engouement du public pour ce type de livre.

L’enquête - une autre approche
Dans notre livre, nous résumons l’histoire de manière assez courte, au contraire des ouvrages publiés. C’est un rappel des faits. L’essentiel ce sont les investigations.
La relation des faits est courte et le reste des pages est consacré à l’enquête menée par Morgan VANLERBERGHE.
Le livre propose une autre vision de l'affaire. Une démarche qui n’a jamais été faite jusqu’à présent. C'est unique dans ce cas précis.
Un travail minutieux et sérieux destiné à permettre aux lecteurs de vivre cette enquête de l’intérieur en se retrouvant soit à la place d’une victime, soit, à un autre moment, à la place du tueur. Il arrive même que l'on se retrouve carrément dans la tête du tueur.
L’enquêteur VANLERBERGHE n’a, à aucun moment, remis en cause le travail des policiers et n’a voulu marcher sur leurs plates-bandes.
L’énorme différence réside dans la fait qu’il avait du temps à consacrer à ses démarches.
Et de ce fait, même vingt ans après, son travail s’est révélé payant. Il a pu aller plus loin dans les investigations et soulever des points qui n’ont jamais été abordés par manque de temps et d’effectifs.
Il a approché différemment des témoins et aussi des proches des victimes qui ont accepté de parler, de se confier, de décrire les victimes, avec du recul.
Il a recueilli des témoignages de personnes qui à l'époque n'ont pas été entendues par la police et les déclarations de personnes qui ont été entendues à l’époque mais qui, avec cette nouvelle approche, ont parlé de manière différente.
Un travail reconnu et apprécié par des personnes proches de l’enquête
Le chef d’enquête à l’époque lui-même, des experts, des policiers, des journalistes, des acteurs de la justice ont apprécié le travail effectué. Leurs témoignages avisés et leurs avis éclairants figurent dans le livre.

Les investigations
Les pistes énumérées à de multiples reprises par les médias ne sont évoquées que brièvement. Par contre de nouvelles pistes ont été ouvertes dont certaines sont dignes d’intérêt, fiables et non dénuées de sens. L’une d’entre elles a même retenu l’attention de l'ex-directeur d'enquête.

La parole aux familles :
Ce sont les familles elles-mêmes qui ont souhaité rencontrer et se confier à l’enquêteur qui a pris le temps de les écouter. De les revoir, pour certaines.

Pour la première fois, les propos des familles de certaines victimes sont rapportés dans un livre.
Aucun ouvrage édité sur le sujet ne contient ce genre de témoignages très important pour la compréhension d’une partie de l’histoire.
Les propos ont été retranscrits sans retouches.

Ces familles ont apprécié la démarche de l’enquêteur et ses motivations purement désintéressées.

Le livre s’attache à présenter les victimes telles qu’elles étaient et réfute les portraits bâclés trop rapidement décrits dans la presse.

L’ambiance
Sans contrainte de temps – mis à part celle inhérente au délai de prescription – Morgan VANLERBERGHE s’est fondu volontairement et longuement dans les ambiances particulières des lieux de dépôt, du quartier de la gare, des milieux de vie des victimes, des hôtels, cafés, bars et restaurants etc.
Même après toutes ces années et même si le quartier de la gare notamment a connu pas mal de changements, il persiste des relents tangibles de cette époque.

Mise en situation
L’enquêteur a effectué divers tests et a notamment chronométrés le temps des parcours qu’aurait pu suivre le dépeceur. Plusieurs essais ont été réalisés avec des sacs poubelles lestés jetés ou déposés fictivement là où ils ont été découverts.

Ces mesures ont permis d’établir des probabilités quant aux différents lieux fréquentés par les victimes et l’auteur.

« Dans cette histoire, il y avait un point qui attirait particulièrement mon attention, c'était la localisation géographique de tous les événements. Il y avait, en premier lieu, le quartier de la gare, mais pas seulement, même si ce secteur de MONS avait sans doute vu passer le ou les auteurs et les victimes. Il y avait les endroits où vivaient les cinq femmes et aussi certains lieux fréquentés par elles. J'ajoutais, à cela, les premiers sites où les sacs-poubelles ont étés retrouvés. »
Une cartographie précise de la région a été établie.
Le livre propose également plusieurs théories relatives à la personnalité de l’auteur.
Était-il seul ? avait-il un complice ? Homme ou femme ?

Le livre contient des indications sur les alentours de la ville de MONS et attire l’attention sur d’autres affaires criminelles qui s’y sont déroulées.

Appel à témoin

Le livre est aussi, en quelque sorte, un « appel à témoins ». Il a un côté interactif, qui peut pousser les gens qui le lisent à apporter, le cas échéant, un témoignage, un retrouver un indice, à se souvenir d’une action, d’une conversation, d’une attitude, des faits ….
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Le 22 mars 2022 l'affaire dite du "dépeceur de Mons" aura 25 ans. Il restera cinq années avant la prescription.
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« Il est moins cinq… »

Possibilité de commander en direct le livre via les auteurs : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Disponible en librairie et sur le net également.

À paraître le 25 août :

Me Fabien Rajon
Aux Côtés des Victimes - Les combats d'un avocat
Éditions de l'Archipel


Il avait remarqueblement soutenu et défendu la famille de Maelys, dans le respect des institutions et du contradictoire.

Message déplacé:

par Tivier Aujourd'hui à 16:58

Netflix va sortir une série sur elle. Voici l'article lié qui rappelle l'affaire :

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Et la page Wikipedia :

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Personnellement j'ai toujours pensé qu'elle n'était pas aussi innocente qu'elle le prétendait. Et ce nonobstant la parodie de traitement judiciaire par la police mexicaine.

Une nouvelle saison de l'émission "Au bout de l'enquête" reprend aujourd'hui avec l'affaire Alessandri à 14h sur France 2 :