Affaires non élucidées I

"Lors de sa disparition, Lucas avait 13 euros maximum en poche. Éric Tronche se souvient : « ce jour-là, il rentre à la maison vers 12h20 (il avait cours le matin au lycée Gérard Philipe de Bagnols, ndlr). Il déjeune, il y a Annick, la nounou de son petit frère. Son petit frère est invité à l’anniversaire d’un copain à Colombier (à quelques kilomètres de Bagnols, ndlr). Au début Annick demande à Valentin de l’accompagner, mais il n’en a pas envie. Finalement, Lucas y va et accompagne son frère à l’anniversaire. Nathalie avait laissé un billet de 20 euros pour acheter un cadeau, et Lucas a acheté un cadeau d’une valeur de 7 euros. »

Lucas rentre à la maison vers 15 heures, avec la nounou, qui s’en va peu après. A ce moment-là, Valentin joue sur son ordinateur. « Vers 16 heures, il descend goûter, se rappelle le père. Il voit Lucas dans la cour, seul avec son téléphone. » Nul ne sait ce que l’adolescent faisait sur son iPhone. Une certitude, il n’était pas sur Facebook : après une usurpation d’identité, il avait supprimé son profil et se contentait désormais de Snapchat, une application d’échange de photos et de vidéos qui s’autodétruisent après quelques secondes, très prisée par les ados. « On sait qu’il y a un échange de data (données mobiles, ndlr). L’opérateur voit une activité », affirme Éric Tronche.

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La dernière fois qu'on a vu Lucas avec témoins, il était 15 h. On a donc aucune certitudes sur ce qui a pu se passer entre le moment où la femme qui s'occupe du petit dernier de la fratrie s'en va, et celui où le frère ainé prend le bus. Deux heures d'emploi du temps non vérifiables. La téléphonie n'a rien montré de suspect, il faut donc oublier cet épisode, aucune fugue n'était en préparation, aucun rendez-vous avec qui que ce soit. Si on écarte un raptus suicidaire à 17 h, avec un corps qui reste au fond de l'eau et qu'on ne retrouvera peut être jamais. Il reste peut être des réponses à trouver dans ces deux heures.

Le doute profite à l'accusée :


Une nouvelle affaire Omar Raddad ?


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Quelques éléments ....

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C'est un meurtre :

"L'autopsie conclut à une mort par noyade. . Le coup à l'arrière du crâne est superficiel : de quoi sonner quelqu'un, guère plus. Le corps ne présente pas de "zones de ripage" qui indiqueraient qu'il ait été traîné. Seulement un hématome sur l'avant-bras causé juste avant ou juste après la mort. Michèle Laforge serrait dans son poing le cordon d'un sèche-cheveux branché, mais son corps ne présente pas de marques d'électrocution. Les proches jugent le suicide hautement improbable."


"Il y a des traces de sang en plusieurs endroits de l'appartement et un cheveu ensanglanté dans l'évier. "

"On trouve des photos de la mère morte de la défunte sur une commode, des La femme de ménage "reconnaît être entrée chez sa patronne. Elle dit qu'elle l'a trouvée dans l'eau, inanimée. Qu'elle a paniqué, qu'elle a fui. Qu'elle a vu en passant des bijoux sur une commode, et les a pris."


Il n'y a pas eu de reconstitution :

malgré les demandes de la fille de la victime qui décrit son beau père comme un : "Docteur Jekyll" qui a changé du tout au tout après la mort de sa mère et cherche à la priver de sa part d'héritage." Elle dénonce une enquête bâclée.


"De retour dans son quartier en fin de matinée, Lamia (l'accusée) vend les bijoux chez un marchand d'or, puis dépose la somme sur son compte postal. Dans l'après-midi, elle appelle à la boutique et demande à parler à Michèle (la victime). "Ça vous arrive souvent d'appeler les morts ?" demande la présidente".


Condamnée à 18 années de réclusion en première instance, acquittée aujourd'hui. "Compte tenu des zones d'ombres, et notamment de l'absence de traces d'ADN, la cour a décidé de l'acquitter".


"la fille de la victime, a quant à elle souhaité que "le vrai coupable aille en prison""

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Le suspect mis en examen dans le cadre de la disparition d'Amandine E. nie. Un groupe de soutien s'est créé sur facebook.


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"Cet ancien maçon âgé de 28 ans a été mis en examen pour enlèvement et séquestration mais à ce jour il n'a pas reconnu les faits et refuserait même de s'exprimer sur cette affaire.
Dans une petite ville de 2 200 habitants tout le monde se connaît plus ou moins, la mère d'Amandine voit très bien qui est Guerric. Aujourd'hui, elle appelle le jeune homme à passer aux aveux, à soulager sa conscience."


"Guerric Jehanno était maçon au moment de la disparition d'Amandine, ils se connaissaient et le jour de la disparition il avait un chantier à proximité du domicile de la jeune femme. Un témoin aurait vu ce jour-là devant chez elle un homme portant un pantalon de chantier et un fourgon blanc Transit. Mais Guerric Jehanno n'a rien avoué. Son avocat dénonce même une interpellation abusive. Le jeune homme aurait "simplement" du mal à s'expliquer sur son emploi du temps du 18 Juin 2013".


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C'est qui PEC ?


le profil psychologique du mis en examen :
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Décrit comme introverti, peu instruit, au parcours chaotique après avoir perdu son père et son demi-frère, G. J., qui travaille aujourd'hui dans une entreprise de granit, est connu dans le village comme «incontrôlable et parfois violent» quand il a bu. «Ce n'est plus le même garçon avec un verre dans le nez ; il disjoncte complètement», lâche une habitante. Une ex-petite amie l'aurait quitté en raison de ces violences : «Quand il avait bu, il pouvait me faire très peur. C'est un garçon très paradoxal.»


Les éléments contre lui :

Le jeune homme travaillait comme maçon sur un chantier à proximité du domicile d'Amandine le jour de sa disparition. Et il aurait donc pu utiliser une camionnette blanche de la société – qui depuis a déposé le bilan – qu'un témoin a cru apercevoir dans les alentours ce jour-là. La description physique et vestimentaire d'un homme fournie par ce témoin présenterait également des similitudes avec le suspect.

Sans le corps, sans adn, ça ne va pas être du gâteau ! Par contre s'il avoue, question "circonstances atténuantes", s'il sera impossible de prouver la préméditation, il aura du mal à démontrer à son tour qu'il était sous l'emprise de l'alcool.

Kassandra88 a écrit:

george white a écrit:C'est qui PEC ?

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"Surtout vite étouffer cette affaire de rituel satanique pour une découpe un sabbat du 21 Juin comme ont été prémédités, sacrifiées et démembrées un 21 juin Marie Hélène Gonzalez à Perpignan, Marie-Jeanne Meyer à Tournon sur Rhône( le 18 juin cause week-end) et très certainement Amandine Estrabaud à Roquecourbe un 21 juin ." Et il ajoute à la liste .... Caroline Corvalan. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Et aussi : "Nous, au Collectif Autre Monde, l’on connait justement une personne quelque peu satanique, violeur, pédophile, adepte des 21 du mois et de sacrifices humains, qui a déjà démembré ‘chirurgicalement’ une jeune fille. Cette pourriture satanique, hyper protégée, habite près de la porte de Saint-Ouen ou a été retrouvé le corps de Caroline Corvalan et à ses heures cette pourriture est aussi photographe ‘spécialisé’ ". Vite, un nom !

il faisait partie du coral il était photographe à l'époque.
sont nom est facile à trouver sur google.

Ah c'est de Dugué dont il parle, ok ! Il est en prison, il a pris 30 ans.

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"la bande de vidéosurveillance n'étant pas exploitable", confiait la maman de Lucas.  Donc ne peut pas dire comme j'ai pu le lire ici où là qu'il n'est pas passé sur le pont et a pris la direction opposée.

Vraiment c'est nul ! Un homme s'est suicidé récemment en se jetant du pont de Cheviré, à Nantes. La première chose qu'ont fait les gendarmes, bien avant d'avoir retrouvé le corps, c'est de demander aux fonctionnaires concernés de visionner les bandes tout de suite (avant qu'elle ne puissent être saisies officiellement).

Alors, ici est ce que la vidéo ne fonctionnait pas, où est ce qu'on n'a pas visionné à temps (avant que ce ne soit effacé définitivement) ?!

Du coup on sait que Valentin était dans le bus retour, puisque c'est sa mère qui l'accueille, mais on ne sait pas à coup sûr s'il l'a pris pour se rendre à la piscine.

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Avec la technique des recherches parentèles l'on pourrait faire une recherche dans le FNAEG? avec un peu de chance un des membres de sa famille y figure.

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«Le temps du séchage de cette dalle, il est allé sur un autre chantier. On peut comprendre qu'il ne se souvienne plus très précisément de cela."

Ben non, on ne peut pas le comprendre ..... la soeur d'un copain disparait, il sait qu'il travaillait juste en face de l'endroit d'où elle a disparu .... et ça ne le marque pas plus que ça ??? A d'autres ....

Qu'est ce qu'on attend pour regarder sous cette dalle ?

La Police du Comté de Windsor au canada, a publié aujourd'hui le PR d'un homme suspecté d'avoir assassiné une enfant de 6 ans, il y a 44 ans. Plus un portrait vieilli.

Le PR a été élaboré à partir du seul phénotype de l'individu, extrait d'une dent.

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Portrait ici :
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"cet outil a été utilisé onze fois sur l'année 2015, et déjà huit fois depuis le 1er janvier 2016 par les services de police, de gendarmerie ou des magistrats dans le but de relancer une enquête".

Oui mais ils ont été publiés dans la presse ?


Il faudrait absolument réactualiser le PR du grêlé à partir de son adn.

La prédiction morphologique n'est autorisée en France que depuis 2014. Uniquement par jurisprudence, puisque la loi interdit chez nous l'analyse des régions codantes de l'adn ... donc de celles qui déterminent la morphologie de l'individu. Même interdiction pour l'origine ethnique.

espérons que les juges et enquêteurs ferment parfois les yeux comme le juge Niel.