qui est il? I
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Seinnheiser
Marlowe
Didier
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Re: qui est il? I
Concernant le pseudo "Louring" c' est un adjectif anglais qui signifie: intimidant, menaçant, sombre...
Par exemple "Louring sky": ciel menaçant
Cela correspond bien au personnage...
Par exemple "Louring sky": ciel menaçant
Cela correspond bien au personnage...
el gringo
Re: qui est il? I
De plus, on rencontrait ce patronyme en Angleterre et aux Etats-Unis
à partir des années 1800 jusqu'au début des années 1900.
On le rencontrait aussi au Danemark à partir de 1664 jusqu'au début des années 1800...
Il y a même sur twitter un jeune danois qui porte ce patronyme.
à partir des années 1800 jusqu'au début des années 1900.
On le rencontrait aussi au Danemark à partir de 1664 jusqu'au début des années 1800...
Il y a même sur twitter un jeune danois qui porte ce patronyme.
el gringo
Re: qui est il? I
Au plus près du mal
Une psychologue à la Brigade criminelle
Frédérique Balland
Tandis que les enquêteurs établissent les premières constatations, elle furète, regarde, examine. Les scènes de crime lui parlent. Psychologue de la police, certains diraient "profileuse" mais elle n'aime pas ce terme, Frédérique Balland cherche à élucider ce qui se tait et pourtant signifie. Pourquoi le meurtrier a-t-il recouvert sa victime d’une couverture ? Pourquoi les a-t-il toutes attachées de la même façon ? Pourquoi cet assassin a-t-il tué les victimes qui se débattaient et laissé en vie celles qui se sont résignées ?
Avec les policiers de la Brigade criminelle, au célèbre "36" ou à Versailles, elle a travaillé plus de huit ans. Elle côtoie les enquêteurs, mais surtout les suspects. Elle ne dit rien, elle n’écoute pas ce qu’ils disent. Elle regarde autre chose. Leurs gestes, leurs yeux, leurs nerfs. Elle remonte leurs parcours. Et approche leur enfance, aussi. Son métier ? Analyste de profil. Les criminels obéissent à une logique. Frédérique Balland a appris à la comprendre, du moins à l'approcher, jusqu'aux frontières du mal.
Dans ce livre unique, plein de force et de retenue, Frédérique Balland retrace des affaires inconnues, d'autres, célèbres en apparence - elle raconte son parcours personnel, nous livre ses émotions, son travail, sa passion. Une traversée.
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Une psychologue à la Brigade criminelle
Frédérique Balland
Tandis que les enquêteurs établissent les premières constatations, elle furète, regarde, examine. Les scènes de crime lui parlent. Psychologue de la police, certains diraient "profileuse" mais elle n'aime pas ce terme, Frédérique Balland cherche à élucider ce qui se tait et pourtant signifie. Pourquoi le meurtrier a-t-il recouvert sa victime d’une couverture ? Pourquoi les a-t-il toutes attachées de la même façon ? Pourquoi cet assassin a-t-il tué les victimes qui se débattaient et laissé en vie celles qui se sont résignées ?
Avec les policiers de la Brigade criminelle, au célèbre "36" ou à Versailles, elle a travaillé plus de huit ans. Elle côtoie les enquêteurs, mais surtout les suspects. Elle ne dit rien, elle n’écoute pas ce qu’ils disent. Elle regarde autre chose. Leurs gestes, leurs yeux, leurs nerfs. Elle remonte leurs parcours. Et approche leur enfance, aussi. Son métier ? Analyste de profil. Les criminels obéissent à une logique. Frédérique Balland a appris à la comprendre, du moins à l'approcher, jusqu'aux frontières du mal.
Dans ce livre unique, plein de force et de retenue, Frédérique Balland retrace des affaires inconnues, d'autres, célèbres en apparence - elle raconte son parcours personnel, nous livre ses émotions, son travail, sa passion. Une traversée.
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Re: qui est il? I
Sarah la victime agressée avant Cécile Paris 13 n est certainement pas la première du grêlé d après Frédérique Balland, donc Paris 13 n est pas forcément sa zone de confort
Re: qui est il? I
Kassandra88 a écrit:el gringo a écrit:
Concernant le 13, Rue Rubens, ce n' était pas un commissariat mais un local où l' on photographiait les policiers...
Oui exact "un local de la police où on photographiait des policiers"
En réécoutant:
22,47 min
…et ce nom là est relié à un ancien endroit où on photographiait les policiers ….une sorte d’ancien commissariat quoi, c’est cela un local de police
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Ce qui ne m'étonne pas
Re: qui est il? I
el gringo a écrit:De plus, on rencontrait ce patronyme en Angleterre et aux Etats-Unis
à partir des années 1800 jusqu'au début des années 1900.
On le rencontrait aussi au Danemark à partir de 1664 jusqu'au début des années 1800...
Il y a même sur twitter un jeune danois qui porte ce patronyme.
Depuis, j'ai le sentiment que "Elie Lauringe" est devenu tendance:
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Re: qui est il? I
Les tueurs qui recouvrent le visage de leur victime, en général c est qu ils connaissent la victime d après les criminologues.
Le grêlé recouvre le corps de Cécile, il l a connaissait d une façon ou d une autre je pense, peut être l avait il beaucoup observée ou l avait rencontrée?
En tout cas la ressemblance entre Cécile Bloch et la jeune fille au pair assassinée elle aussi est vraiment frappante je trouve.
Le grêlé recouvre le corps de Cécile, il l a connaissait d une façon ou d une autre je pense, peut être l avait il beaucoup observée ou l avait rencontrée?
En tout cas la ressemblance entre Cécile Bloch et la jeune fille au pair assassinée elle aussi est vraiment frappante je trouve.
Dernière édition par Didier le Sam 7 Nov - 14:34, édité 1 fois
Re: qui est il? I
Didier a écrit:Les tueurs qui recouvrent le visage de leur victime, en général c est qu ils connaissent la victime d après les criminologues.
Le grêlé recouvre le corps de Cécile, il l a connaissais d une façon ou d une autre je pense, peut être l avait il beaucoup observée ou l avait rencontrée?
En tout cas la ressemblance entre Cécile Bloch et la jeune fille au pair assassinée elle aussi est vraiment frappante je trouve.
Il recouvre son visage aussi d'une certaine façon "le bandeau de Cécile lui recouvrait les yeux".
Re: qui est il? I
il recouvre le corps de Cécile avec un morceau de moquette, il culpabilise!
Pourquoi, alors que le viol ne lui pose pas de souci?
Pourquoi, alors que le viol ne lui pose pas de souci?
Re: qui est il? I
Oui tout juste sortie de l adolescence.Encore une enfant.Kassandra88 a écrit:Ce qui est très frappant (je trouve) c'est que Irmgard fait très jeune.
Re: qui est il? I
Bonjour, effectivement l'acte semble avoir était mené avec une certaine maitrise qui pourrait laisser supposé queDidier a écrit:Sarah la victime agressée avant Cécile Paris 13 n est certainement pas la première du grêlé d après Frédérique Balland, donc Paris 13 n est pas forcément sa zone de confort
l'individu n'en est pas à son coup d'essai c'est du reste probablement le cas . Par exemple bien qu'il n'existe aucune
preuve l'attestant ,le crime de la petite A.M Laurent le 10 juillet 1982 pourrait lui être imputé. Des éléments vont dans ce sens et
coïncident , la période ,les secteurs ,le profil de la victime qui était d'origine, martiniquaise( Ingrid est d'origine guadeloupéenne) .
L’enlèvement intervient quai de la Rapée , le corps sera découvert dans le 13 em pas très loin de la place de Vénétie dissimulé
sous des gravats. Un autre fait se déroule dans ce laps de temps et n'a peut être aucun rapport, cependant c'est assez troublant
pour en faire état . Il s'agit de la disparition de C. Duvauchelle qui se déroule en soirée entre le 8 et le 11 juillet,je ne connais pas
la date précise . Elle résidait rue Pascal dont la majeure partie se situe dans le 13 em .
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Seinnheiser
13 rue Rubens
Kassandra88 a écrit:el gringo a écrit:
Concernant le 13, Rue Rubens, ce n' était pas un commissariat mais un local où l' on photographiait les policiers...
Oui exact "un local de la police où on photographiait des policiers"el gringo a écrit:Comment a-t-il pu le savoir?
Le savait-il? Est-ce une coïncidence?el gringo a écrit:
Lors de ses cambriolages, il a volé a plusieurs reprises des appareils photos.
Lors d' une de ses agressions, il avait une ceinture multi-poches, comme les photographes.
On peut supposer qu' il soit lié au monde de la photographie...
A noter que au 12 rue Rubens on trouvait une école de photographie, mais était-elle là en 87?
Encore et encore pour ajouter une petite phrase que je retrouve dans les jours/le 36
C'était au départ un local des services techniques de la PP où les flicards de base prenaient en photo les recrues. Autrement dit, une adresse non publique connue des seuls policiers. De là a germé l'hypothèse que le G pourrait être un policier ayant travaillé dans ce service technique, ou un fils de fonctionnaire ayant servi à la PP.
Je n'avais pas tilté sur le "non publique" ce qui donne encore d'avantage de poids au fait que le G puisse avoir été un flic ou quelqu'un de proche des flics.
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