qui est il? XI
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Re: qui est il? XI
Plus récemment, mais je pense que cette personne est aussi personne trop jeune pour être le G:
Ardennes : un commandant de la DGSI mis en examen pour viol sur mineure
Ce policier de 57 ans (donc né en 1962), expert en déradicalisation, a été écroué après une garde à vue dans les locaux de Levallois.
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Vu qu'il ne s'agit "que de viol", et vu son grade au sein de la police, je doute que son identité soit révélée.
J'espère qu'on attendra pas les calendes grecques pour introduire son ADN dans le FNAEG.
Ardennes : un commandant de la DGSI mis en examen pour viol sur mineure
Ce policier de 57 ans (donc né en 1962), expert en déradicalisation, a été écroué après une garde à vue dans les locaux de Levallois.
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Vu qu'il ne s'agit "que de viol", et vu son grade au sein de la police, je doute que son identité soit révélée.
J'espère qu'on attendra pas les calendes grecques pour introduire son ADN dans le FNAEG.
Re: qui est il? XI
son identité sortira tot au tard meme si son appartenance à la DGSI retardera forcément la divulgation. Mais vu la découverte d'images pédopornographiques dans son ordi, datant pour certaines de 2000, son adn arrivera forcément au fnaeg. et d'ici quelques jours on devrait connaitre son parcours professionnel, savoir ou il était dans les années qui nous interessent
kersauson
Re: qui est il? XI
kersauson a écrit:son identité sortira tot au tard meme si son appartenance à la DGSI retardera forcément la divulgation. Mais vu la découverte d'images pédopornographiques dans son ordi, datant pour certaines de 2000, son adn arrivera forcément au fnaeg. et d'ici quelques jours on devrait connaitre son parcours professionnel, savoir ou il était dans les années qui nous interessent
Heureusement pour la plaignante décrite comme " jeune « musulmane identifiée dès 2015 comme étant en voie de radicalisation à un stade avancé » que les enquêteurs ont découvert des images P.P sur l'ordi de l'agresseur présumé, sinon je pense que dans un "parole contre parole", elle risquait bien de passer pour une menteuse.
Re: qui est il? XI
kersauson a écrit:son identité sortira tot au tard meme si son appartenance à la DGSI retardera forcément la divulgation. Mais vu la découverte d'images pédopornographiques dans son ordi, datant pour certaines de 2000, son adn arrivera forcément au fnaeg. et d'ici quelques jours on devrait connaitre son parcours professionnel, savoir ou il était dans les années qui nous interessent
Je me demande pourquoi il n'a pas été repéré plus tôt. Protégé par son statut?
Re: qui est il? XI
malheureusement en matière de téléchargement de telles images, ce sont les baltringues qui se font attraper. Celui qui prends un minimum de précaution échappera toujours aux mailles du filet.
kersauson
Re: qui est il? XI
Bonjour à tous,
Vous n'ignorez pas qu'un suspect intéressant vient d'être MEE pour le meurtre de Sophie Borca qui a eu lieu le 31 mai 1985. Le nom de cette personne (homme de 66 ans) figurait dans le dossier, il avait été placé en GAV en 2012 mais remis en liberté faute d'éléments concrets. A noter que ce présumé innocent nie les faits.
Nous avions envisagé que les meurtres des petites Sophie et Christel pourraient avoir un lien avec le G, mais leur look (des petites blondes) nous laissait penser le contraire, même si cette déduction était purement suggestive.
L'hypothèse était la bonne en tout cas, d'ailleurs si ce n'avait pas été pas le cas, le MEE ne serait pas laissé en liberté sous contrôle judiciaire et aurait déjà été mis à l'ombre en 2012.
Vous n'ignorez pas qu'un suspect intéressant vient d'être MEE pour le meurtre de Sophie Borca qui a eu lieu le 31 mai 1985. Le nom de cette personne (homme de 66 ans) figurait dans le dossier, il avait été placé en GAV en 2012 mais remis en liberté faute d'éléments concrets. A noter que ce présumé innocent nie les faits.
Nous avions envisagé que les meurtres des petites Sophie et Christel pourraient avoir un lien avec le G, mais leur look (des petites blondes) nous laissait penser le contraire, même si cette déduction était purement suggestive.
L'hypothèse était la bonne en tout cas, d'ailleurs si ce n'avait pas été pas le cas, le MEE ne serait pas laissé en liberté sous contrôle judiciaire et aurait déjà été mis à l'ombre en 2012.
Re: qui est il? XI
visiblement les enquêteurs avaient déjà de gros soupçons le concernant en 2012, mais avaient volontairement mis fin aux auditions pour garder du temps de gav pour plus tard, en attendant d'avoir plus d'éléments. Ca semble désormais être le cas.
Après son ADN a surement du être prélévé en 2012 et mis dans le FNAEG. A moins qu'il ait refusé
Après son ADN a surement du être prélévé en 2012 et mis dans le FNAEG. A moins qu'il ait refusé
kersauson
Re: qui est il? XI
faits très antérieurs ? état de santé ? éléments intéressants mais preuves insuffisantes ?
kersauson
Re: qui est il? XI
Bonjour,
Votre arrière-petit cousin peut trahir votre crime parfait
La recherche ADN prend un tournant dans les enquêtes policières aux États-Unis puisqu'elle est désormais, en plus d'un motif de suspicion, un motif de condamnation.
La recherche ADN couplée à la génétique avait déjà fait ses preuves à l'été 2018, dans l'arrestation d'un serial killer notoire de la côte ouest américaine. Le 1er juillet 2019, un homme suspecté d'un double meurtre datant de 1987 a été inculpé par la justice américaine grâce à la même technique. C'est une révolution pour la recherche criminelle: jusque-là, jamais l'emploi de cette méthode n'avait été reconnue comme une preuve irréfutable de culpabilité. La généalogie génétique mérite d'être éclaircie.
Développée par Cece Moore, une ex-publicitaire renconvertie en détective généalogique, la technique a tout d'un bon polar; il suffit de l'ADN retrouvé sur les lieux du crime. Habituellement, l'échantillon n'était confronté qu'aux bases de données de la police –contenant uniquement les ADN de personnes déjà arrêtées et bien souvent racisées– et la comparaison permettait ou bien une identification directe du suspect, ou rien du tout.
Mais l'Américain·e blanc·he est désormais en quête de sa propre histoire. Plus de 26 millions de personnes sont inscrites sur des plateformes de recherche généalogique comme GEDmatch, où pour moins d'une centaine d'euros, on peut se chercher un ADN commun avec un·e autre membre de la plateforme.
Cousin au troisième degré, crime démasqué
Ainsi suffit-il d'avoir quelque cousine au troisième degré (c'est-à-dire qui partage un de vos seize arrière-grands-parents) pour remonter jusqu'à très loin dans les origines d'un individu. Un peu de mathématiques nous apprennent que nous avons environ 800 cousin·es au troisième degré. Pas compliqué d'imaginer, parmi les 800, au moins une personne enthousiaste qui a voulu savoir si oui ou non, elle avait du sang indien. Grâce aux registres civils, on peut retracer un très grand nombre d'arbres généalogiques. De cette manière, retrouver l'ADN exact d'une scène de crime en redescendant les branches de la généalogie s'avère (presque) facile.
C'est ce qu'il s'est passé pour l'affaire William Talbott. En 1987, deux ados canadien·nes, en vacances en couple, sont retrouvé·es assassiné·es à plusieurs dizaines de kilomètres de distance, avec pour seul indice, une trace de sperme sur les sous-vêtements de la jeune fille. Le fichier de police n'ayant rien donné, l'enquête a périclité, et celui qui avait laissé ses traces et qu'on a appelé «l'individu A» est resté dans l'ombre pendant plus de trente ans.
Mais il a suffi de rentrer les données de l'individu A sur GEDmatch pour trouver une correspondance avec deux cousins éloignés: l'arbre généalogique de la famille a mené l'équipe d'enquête directement à la porte d'un chauffeur routier habitant précisément dans la zone où les corps ont été retrouvés. Sans beaucoup de peine, elle s'est procuré l'ADN du chauffeur et a ainsi mis un nom sur l'individu A: William Talbott.
Cependant, cette condamnation n'a été rendue possible que grâce au partage de données des utilisateurs et utilisatrices de GEDmatch. Alors faut-il ou non divulguer des données personnelles dans le cadre d'une enquête? La condamnation de William Talbott pour le double meurtre de 1987 pose en tout cas les bonnes questions.
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Si on pouvait mettre l'adn du G ne serait que dans les bases de Gedmatch ou Myheritage, je pense vraiment qu'on lui trouverait rapidement des cousins en France ou ailleurs au 3ème voire au 2e degré.
Votre arrière-petit cousin peut trahir votre crime parfait
La recherche ADN prend un tournant dans les enquêtes policières aux États-Unis puisqu'elle est désormais, en plus d'un motif de suspicion, un motif de condamnation.
La recherche ADN couplée à la génétique avait déjà fait ses preuves à l'été 2018, dans l'arrestation d'un serial killer notoire de la côte ouest américaine. Le 1er juillet 2019, un homme suspecté d'un double meurtre datant de 1987 a été inculpé par la justice américaine grâce à la même technique. C'est une révolution pour la recherche criminelle: jusque-là, jamais l'emploi de cette méthode n'avait été reconnue comme une preuve irréfutable de culpabilité. La généalogie génétique mérite d'être éclaircie.
Développée par Cece Moore, une ex-publicitaire renconvertie en détective généalogique, la technique a tout d'un bon polar; il suffit de l'ADN retrouvé sur les lieux du crime. Habituellement, l'échantillon n'était confronté qu'aux bases de données de la police –contenant uniquement les ADN de personnes déjà arrêtées et bien souvent racisées– et la comparaison permettait ou bien une identification directe du suspect, ou rien du tout.
Mais l'Américain·e blanc·he est désormais en quête de sa propre histoire. Plus de 26 millions de personnes sont inscrites sur des plateformes de recherche généalogique comme GEDmatch, où pour moins d'une centaine d'euros, on peut se chercher un ADN commun avec un·e autre membre de la plateforme.
Cousin au troisième degré, crime démasqué
Ainsi suffit-il d'avoir quelque cousine au troisième degré (c'est-à-dire qui partage un de vos seize arrière-grands-parents) pour remonter jusqu'à très loin dans les origines d'un individu. Un peu de mathématiques nous apprennent que nous avons environ 800 cousin·es au troisième degré. Pas compliqué d'imaginer, parmi les 800, au moins une personne enthousiaste qui a voulu savoir si oui ou non, elle avait du sang indien. Grâce aux registres civils, on peut retracer un très grand nombre d'arbres généalogiques. De cette manière, retrouver l'ADN exact d'une scène de crime en redescendant les branches de la généalogie s'avère (presque) facile.
C'est ce qu'il s'est passé pour l'affaire William Talbott. En 1987, deux ados canadien·nes, en vacances en couple, sont retrouvé·es assassiné·es à plusieurs dizaines de kilomètres de distance, avec pour seul indice, une trace de sperme sur les sous-vêtements de la jeune fille. Le fichier de police n'ayant rien donné, l'enquête a périclité, et celui qui avait laissé ses traces et qu'on a appelé «l'individu A» est resté dans l'ombre pendant plus de trente ans.
Mais il a suffi de rentrer les données de l'individu A sur GEDmatch pour trouver une correspondance avec deux cousins éloignés: l'arbre généalogique de la famille a mené l'équipe d'enquête directement à la porte d'un chauffeur routier habitant précisément dans la zone où les corps ont été retrouvés. Sans beaucoup de peine, elle s'est procuré l'ADN du chauffeur et a ainsi mis un nom sur l'individu A: William Talbott.
Cependant, cette condamnation n'a été rendue possible que grâce au partage de données des utilisateurs et utilisatrices de GEDmatch. Alors faut-il ou non divulguer des données personnelles dans le cadre d'une enquête? La condamnation de William Talbott pour le double meurtre de 1987 pose en tout cas les bonnes questions.
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Si on pouvait mettre l'adn du G ne serait que dans les bases de Gedmatch ou Myheritage, je pense vraiment qu'on lui trouverait rapidement des cousins en France ou ailleurs au 3ème voire au 2e degré.
Re: qui est il? XI
weltgeist a écrit:Bonjour,
Votre arrière-petit cousin peut trahir votre crime parfait
La recherche ADN prend un tournant dans les enquêtes policières aux États-Unis puisqu'elle est désormais, en plus d'un motif de suspicion, un motif de condamnation.
La recherche ADN couplée à la génétique avait déjà fait ses preuves à l'été 2018, dans l'arrestation d'un serial killer notoire de la côte ouest américaine. Le 1er juillet 2019, un homme suspecté d'un double meurtre datant de 1987 a été inculpé par la justice américaine grâce à la même technique. C'est une révolution pour la recherche criminelle: jusque-là, jamais l'emploi de cette méthode n'avait été reconnue comme une preuve irréfutable de culpabilité. La généalogie génétique mérite d'être éclaircie.
Développée par Cece Moore, une ex-publicitaire renconvertie en détective généalogique, la technique a tout d'un bon polar; il suffit de l'ADN retrouvé sur les lieux du crime. Habituellement, l'échantillon n'était confronté qu'aux bases de données de la police –contenant uniquement les ADN de personnes déjà arrêtées et bien souvent racisées– et la comparaison permettait ou bien une identification directe du suspect, ou rien du tout.
Mais l'Américain·e blanc·he est désormais en quête de sa propre histoire. Plus de 26 millions de personnes sont inscrites sur des plateformes de recherche généalogique comme GEDmatch, où pour moins d'une centaine d'euros, on peut se chercher un ADN commun avec un·e autre membre de la plateforme.
Cousin au troisième degré, crime démasqué
Ainsi suffit-il d'avoir quelque cousine au troisième degré (c'est-à-dire qui partage un de vos seize arrière-grands-parents) pour remonter jusqu'à très loin dans les origines d'un individu. Un peu de mathématiques nous apprennent que nous avons environ 800 cousin·es au troisième degré. Pas compliqué d'imaginer, parmi les 800, au moins une personne enthousiaste qui a voulu savoir si oui ou non, elle avait du sang indien. Grâce aux registres civils, on peut retracer un très grand nombre d'arbres généalogiques. De cette manière, retrouver l'ADN exact d'une scène de crime en redescendant les branches de la généalogie s'avère (presque) facile.
C'est ce qu'il s'est passé pour l'affaire William Talbott. En 1987, deux ados canadien·nes, en vacances en couple, sont retrouvé·es assassiné·es à plusieurs dizaines de kilomètres de distance, avec pour seul indice, une trace de sperme sur les sous-vêtements de la jeune fille. Le fichier de police n'ayant rien donné, l'enquête a périclité, et celui qui avait laissé ses traces et qu'on a appelé «l'individu A» est resté dans l'ombre pendant plus de trente ans.
Mais il a suffi de rentrer les données de l'individu A sur GEDmatch pour trouver une correspondance avec deux cousins éloignés: l'arbre généalogique de la famille a mené l'équipe d'enquête directement à la porte d'un chauffeur routier habitant précisément dans la zone où les corps ont été retrouvés. Sans beaucoup de peine, elle s'est procuré l'ADN du chauffeur et a ainsi mis un nom sur l'individu A: William Talbott.
Cependant, cette condamnation n'a été rendue possible que grâce au partage de données des utilisateurs et utilisatrices de GEDmatch. Alors faut-il ou non divulguer des données personnelles dans le cadre d'une enquête? La condamnation de William Talbott pour le double meurtre de 1987 pose en tout cas les bonnes questions.
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Si on pouvait mettre l'adn du G ne serait que dans les bases de Gedmatch ou Myheritage, je pense vraiment qu'on lui trouverait rapidement des cousins en France ou ailleurs au 3ème voire au 2e degré.
Bonjour Weltgeist,
En effet cela serait bien pratique ;-) Et potentiellement efficace.
Seul bémol, ces outils ne sont peut-être pas encore très répandus en France. Je dis peut-être une bêtise, mais il me semble que la majorité des personnes qui font ces analyses ADN sont à ce jour Américaines ?
Mais cela devrait se développer en Europe dans les années à venir.
J'avoue que perso, savoir mon ADN dans un base qui appartient à une société privée... Je sais pas, cela me dérangerait...
Bonne journée !
Re: qui est il? XI
Certains en france le font par le biais de boites américaines, avec des résultats semble t il pas toujours identiques. par contre chez nous, c'est illégal. Et ca devrait le rester, notamment en raison du fait qu'en France environ 1 enfant sur 8 appelle papa quelqu'un qui n'est pas son père. D'ailleurs certains qui ont fait le test via des boites américaines pour essayer de se trouver des parents éloignés ont eu des mauvaises surprises de ce côté la.
Pour que le grélé "tombe" à l'ADN, il faudra soit qu'il commette une infraction avec prélévement ADN, soit qu'un de ses enfants (si il en a) ou parent procheen fasse de même
Pour que le grélé "tombe" à l'ADN, il faudra soit qu'il commette une infraction avec prélévement ADN, soit qu'un de ses enfants (si il en a) ou parent procheen fasse de même
kersauson
Re: qui est il? XI
En fait beaucoup d'européens aussi sont inscrits sur ces sites et notamment des français malgré l'interdiction.
Au delà de l'adn même, il y a un gros souci sur la confidentialité des données de manière générale et les sociétés américaines ou autres inspirent peu confiance.
N'a-t-on pas appris via Snowden qu'Orange transmettait les données de ses abonnés à la DGSE ?
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Données des abonnés Orange que possède déjà la NSA grâce à un piratage de cable !
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Ce genre d'articles ne sont pas faits pour rassurer :
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En réalité, on ne compte plus le nombre de fuites volontaires ou non...
Au delà de l'adn même, il y a un gros souci sur la confidentialité des données de manière générale et les sociétés américaines ou autres inspirent peu confiance.
N'a-t-on pas appris via Snowden qu'Orange transmettait les données de ses abonnés à la DGSE ?
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Données des abonnés Orange que possède déjà la NSA grâce à un piratage de cable !
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Ce genre d'articles ne sont pas faits pour rassurer :
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En réalité, on ne compte plus le nombre de fuites volontaires ou non...
Re: qui est il? XI
J'ai passé une bonne partie de la nuit une fois à fouiner dans les paramètres de confidentialité de Google pour décocher tout ce qu'il y avait à décocher et vider tout ce qu'il fallait vider. C'était ahurissant... je me souviens même avoir décoché une case concernant la transmission de données médicales à des entreprises (Pratique sûrement pour les assurances américaines). Depuis je n'ai plus retrouvé ce paramètre, tant mieux ? Mais il faut quand même essayer de faire le ménage de temps en temps...
Re: qui est il? XI
kersauson a écrit:Certains en france le font par le biais de boites américaines, avec des résultats semble t il pas toujours identiques. par contre chez nous, c'est illégal. Et ca devrait le rester, notamment en raison du fait qu'en France environ 1 enfant sur 8 appelle papa quelqu'un qui n'est pas son père. D'ailleurs certains qui ont fait le test via des boites américaines pour essayer de se trouver des parents éloignés ont eu des mauvaises surprises de ce côté la.
Pour que le grélé "tombe" à l'ADN, il faudra soit qu'il commette une infraction avec prélévement ADN, soit qu'un de ses enfants (si il en a) ou parent procheen fasse de même
En fait, il est possible que les tests adn à visée généalogique soit prochainement autorisée en France :
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La fédération Française de Généalogie a été auditionnée sur le sujet :
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Autant vous dire que toutes les grosses associations et les entreprises de généalogie font un peu pression (à leur niveau) pour que la France puisse aussi organiser des tests.
Re: qui est il? XI
Bonjour à tous,
Bref, ce type s'est peut-être réveillé en lisant un forum tel que celui-ci. S'il oeuvrait dans le secteur du G... quelques victimes de moins au tableau de "notre ami"...
Et le violeur pourra se dédouaner d'être un assassin.
A méditer.
Dernière édition par Maison le Sam 6 Juil 2019 - 15:21, édité 1 fois
Maison
Re: qui est il? XI
kersauson a écrit:Certains en france le font par le biais de boites américaines, avec des résultats semble t il pas toujours identiques. par contre chez nous, c'est illégal. Et ca devrait le rester, notamment en raison du fait qu'en France environ 1 enfant sur 8 appelle papa quelqu'un qui n'est pas son père. D'ailleurs certains qui ont fait le test via des boites américaines pour essayer de se trouver des parents éloignés ont eu des mauvaises surprises de ce côté la.
Pour que le grélé "tombe" à l'ADN, il faudra soit qu'il commette une infraction avec prélévement ADN, soit qu'un de ses enfants (si il en a) ou parent proche en fasse de même
Bonjour à tous,
En fait, ce qui est illégal, c'est que l'analyse de l'ADN soit réalisée sur le sol français. Mais un français a tout à fait le droit de faire analyser son ADN aux Etats-Unis ou ailleurs, de même qu'on peut se faire inséminer en Espagne, avorter en Angleterre ou euthanasier en Belgique.
Bien ou mal, moral ou pas, dangereux ou pas, ce sont d'autres sujets que celui qui nous intéresse ici ...
Bref, de plus en plus de français font analyser leur ADN à des fins "récréatives" (c'est le terme utilisé) pour connaître leurs origines ethniques ou étoffer leur arbre généalogique. Facebook et YouTube sont truffés de pubs à ce sujet, ça finit par marcher.
Passionnée de généalogie, j'ai moi-même sauté le pas il y a quelques semaines. J'ai choisi MyHeritage (je ne fais pas de pub, mais c'est le seul site en français).
J'y ai trouvé 507 personnes avec qui je partage des segments d'ADN, souvent trop peu de cM (centimorgans) pour retrouver une parenté, mais parfois beaucoup plus. Un tiers d'entre eux sont français, le reste étant américains ou canadiens essentiellement. Tout ceci est fiable, j'y ai d'ailleurs retrouvé tout de suite une cousine que je connais dans la vraie vie, et dont j'ignorais qu'elle avait fait le test également
Je fonde donc de très grands espoirs sur l'exploitation de l'ADN du Grêlé, et j'espère bien que les enquêteurs ont injecté son ADN dans cette base, même si ça, c'est illégal.
Par contre, ce sera très long pour retrouver son identité, mais à force de recoupements entre les différents cousins, et au fur et à mesure de l'enrichissement de la base, il sera possible de déterminer qui il est (ou qui il était, car il y a des risques qu'il décède d'ici là ), mais on saura un jour, c'est une certitude.
Pour finir, un grand bravo aux intervenants réguliers de cette discussion qui font beaucoup pour faire avancer cette enquête par des moyens plus traditionnels, et qui permettent que cette affaire ne soit pas oubliée.
Bon week-end à tous.
Mittie
Re: qui est il? XI
Bienvenue Mittie,
J'espère que les familles gardent encore l'énergie nécessaire pour se battre afin que que ce fameux grêlé soit identifié.
Pour ce qui est de la légalité, on peut parfois compter sur un coup de pouce de la cour de cassation:
Le Monde nous apprend ce mardi que durant la traque du violeur du 8e arrondissement de Lyon, les enquêteurs et la police scientifique d'Ecully ont bénéficié de l'autorisation de la Cour de cassation pour effectuer une révolution génétique.
Un portrait-robot du suspect avait été réalisé à partir de son ADN retrouvé sur ses victimes, des six femmes violées dans le 8e arrondissement entre octobre 2012 et l'arrestation d'un homme en janvier 2014.
Pour le créer, les experts ont repéré des similitudes entre son ADN et celui d'un autre homme, arrêté pour des infractions sexuelles. En admettant qu'ils pouvaient faire partie de la même famille, même éloignée, et en se basant sur la génétique pour dresser ses potentielles particularités morphologiques, le fameux portrait-robot, validé par la plus haute instance du pays.
Au final, le portrait-robot n'a pas pu prouver son efficacité car le voleur du 8e présumé avait été interpellé en flagrant délit. Mais ce cas pourrait faire jurisprudence en France.
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J'espère que les familles gardent encore l'énergie nécessaire pour se battre afin que que ce fameux grêlé soit identifié.
Pour ce qui est de la légalité, on peut parfois compter sur un coup de pouce de la cour de cassation:
Le Monde nous apprend ce mardi que durant la traque du violeur du 8e arrondissement de Lyon, les enquêteurs et la police scientifique d'Ecully ont bénéficié de l'autorisation de la Cour de cassation pour effectuer une révolution génétique.
Un portrait-robot du suspect avait été réalisé à partir de son ADN retrouvé sur ses victimes, des six femmes violées dans le 8e arrondissement entre octobre 2012 et l'arrestation d'un homme en janvier 2014.
Pour le créer, les experts ont repéré des similitudes entre son ADN et celui d'un autre homme, arrêté pour des infractions sexuelles. En admettant qu'ils pouvaient faire partie de la même famille, même éloignée, et en se basant sur la génétique pour dresser ses potentielles particularités morphologiques, le fameux portrait-robot, validé par la plus haute instance du pays.
Au final, le portrait-robot n'a pas pu prouver son efficacité car le voleur du 8e présumé avait été interpellé en flagrant délit. Mais ce cas pourrait faire jurisprudence en France.
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Re: qui est il? XI
Eh,eh,
Le G. ne portait pas de préservatif, donc il a bien du finir par mettre une fille enceinte (même si c'était pas délirant. )
Le G. ne portait pas de préservatif, donc il a bien du finir par mettre une fille enceinte (même si c'était pas délirant. )
Maison
Re: qui est il? XI
Le problème est peut-être le suivant: pas fun, d'avoir comme géniteur un assassin d'enfant !Maison a écrit:Eh,eh,
Le G. ne portait pas de préservatif, donc il a bien fini par mettre une fille enceinte (même si c'était pas délirant. )
A méditer...
Bon dimanche à tous.
Maison
Re: qui est il? XI
Bonjour !
Évidemment que les test ADN à des fin généalogiques résoudrait une fois pour tout qui est ce fantôme de G.
Tenez je vous donne un exemple; vous connaissez l’affaire de l’homme de Somerton ?
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Cet homme plus que mystérieux retrouvé sur une plage d’Adelaïde en Australie depuis la fin des années 40. Eh bien, on compte sur cette technique pour résoudre cet affaire. Un scientifique tente d’exhumer la dépouille afin de procéder à ce type d’examen en retraçant les membres de sa famille élargie par son ADN.
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Pour ce qui est de français qui ont découvert que leur père n’ét Pas leur père. C’est vrai j’en ai été témoin dernièrement. Je suis membre d’un groupe FB de généalogie par ADN québécois (héritage français) et j’ai vu un français venir se confier à nous ; il avait fait faire un test à lui et sa soeur. Dans le cas de sa soeur, il y avait des cousin éloignés bien différents des siens. Ahhh mes cousins de français, l’époque du libertinage de type liaisons dangereuses n’est pas si loin chez vous (je blague bien sûr)
Mais allez-vous vous priver de nouvelles méthodes d’identification pour percer des mystères de l’histoire pour une infime minorité d’enfants née d’adultère quand dans les pays anglo-saxons cette méthode se développe ? Maintenant ç’est à vous le débat.
Bonne journée
Évidemment que les test ADN à des fin généalogiques résoudrait une fois pour tout qui est ce fantôme de G.
Tenez je vous donne un exemple; vous connaissez l’affaire de l’homme de Somerton ?
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Cet homme plus que mystérieux retrouvé sur une plage d’Adelaïde en Australie depuis la fin des années 40. Eh bien, on compte sur cette technique pour résoudre cet affaire. Un scientifique tente d’exhumer la dépouille afin de procéder à ce type d’examen en retraçant les membres de sa famille élargie par son ADN.
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Pour ce qui est de français qui ont découvert que leur père n’ét Pas leur père. C’est vrai j’en ai été témoin dernièrement. Je suis membre d’un groupe FB de généalogie par ADN québécois (héritage français) et j’ai vu un français venir se confier à nous ; il avait fait faire un test à lui et sa soeur. Dans le cas de sa soeur, il y avait des cousin éloignés bien différents des siens. Ahhh mes cousins de français, l’époque du libertinage de type liaisons dangereuses n’est pas si loin chez vous (je blague bien sûr)
Mais allez-vous vous priver de nouvelles méthodes d’identification pour percer des mystères de l’histoire pour une infime minorité d’enfants née d’adultère quand dans les pays anglo-saxons cette méthode se développe ? Maintenant ç’est à vous le débat.
Bonne journée
Baron693
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