Désormais on sait qui il était clap 8

Que de temps perdu. Pourquoi ce retard ? du chauvinisme . Quand on voit le nombre de cold cases résolus aux USA , on reste pantois.
En fait, ils se bougent le c+l en 2022, tellement avant ils s'en br.nl.ient des victimes .
"Et nous avons tous conscience de l’attente forte des familles de victimes », complète le procureur."
Il est sérieux le proc ?

Lisetoct a écrit:Que de temps perdu. Pourquoi ce retard ? du chauvinisme . Quand on voit le nombre de cold cases résolus aux USA , on reste pantois.
En fait, ils se bougent le c+l en 2022, tellement avant ils s'en br.nl.ient des victimes .
"Et nous avons tous conscience de l’attente forte des familles de victimes », complète le procureur."
Il est sérieux le proc ?

Quand on voit le nombre d'heure d'enquête faites par exemple sur l’affaire FV ou sur celle du petit Grégory on ne peut pas dire qu'il n' ait pas de cellules de police ou gendarme qui ne travaillent pas sur des cas anciens. Après oui la création d'une cellule spécialisée cold case est une bonne chose.

Je ne connaissais pas l'affaire de la pauvre Coralie Moussu et la proximité géographique avec Le Grêlé me met la puce à l'oreille.

Se pourrait il qu'il ait enlevé et tué le jeune Lucas? Bagnols sur Ceze est juste à côté du lieu de disparition de Mme Moussu.

Vous pensez Kassandra? Vous en savez certainement plus que moi à ce sujet.

Toutefois, "très probablement un accident" mais pas certitude non plus.

L'hypothèse de l'agression est-elle exclue pour Lucas?

Je ne dis pas que le G. en serait l'auteur. Mais ce n'est pas 100% interdit non plus.

Remarquez que le G. ne semble pas tellement s'intéresser aux garçons.

C'est l'ancien inspecteur, Gérard Bouladou (malheureusement décédé d'une longue maladie en 2019), qui m'avait parlé de cette affaire du Grêlé, que je ne connaissais pas. A l'époque, il travaillait sur Paris, pour ça que cette affaire l'avait marqué. Gérard, qui a démonté la thèse de Gilles Perrault sur l'innocence de Christian Ranucci, qu'il avait développé dans le Pull-over rouge, était persuadé que le "grêlé" faisait partie des forces de l'ordre et il comptait écrire un livre sur cette histoire. Lorsque le Grêlé a été identifié, j'ai tout de suite pensé à lui.

Nordahl Lelandais
Nouvelles charges contre Mathias Pogba

Aminata Diallo, l’ex-joueuse du PSG, poursuivie pour « violences aggravées »

Noël Le Graët soupçonné de harcèlement

Trois enquêtes pour trois tueurs
Alègre, Lelandais, Van Coppernolle

La justice va de nouveau enquêter sur ces criminels condamnés à la perpétuité. Ces informations judiciaires inédites visent à reconstituer leur parcours de vie et découvrir d’éventuelles autres victimes à ajouter à leurs «  palmarès  » sanglants.
Vincent Gautronneau, Jérémie Pham-Lê et Jean-Michel Décugis
Ils ont été condamnésà la prison à vie pour l’atrocité de leurs actes. Mais ont-ils révélé tous leurs sombres secrets ? Patrice Alègre, Nordahl Lelandais, Willy Van Coppernolle : ces trois noms ont marqué l’histoire criminelle française. Avec leurs meurtres, viols et agressions sexuelles d’enfants, de femmes et d’un homme, ils comptabilisent à eux trois treize victimes connues à ce jour en France, dont huit ont été tuées, entre 1989 et 2017. Toutes les enquêtes les concernant étaient depuis refermées. Mais à respectivement 54, 79 et 39 ans, ils sont à nouveau dans le collimateur de la justice. Selon nos informations, le parquet de Nanterre a ouvert, ces derniers jours, trois nouvelles informations judiciaires visant ces trois criminels (joint ce vendredi, le parquet n’a pas souhaité communiquer). Ces procédures sont entre les mains des juges d’instruction du nouveau pôle judiciaire dédié aux cold cases, une juridiction nationale créée au printemps qui a vocation à centraliser les affaires non résolues, complexes et enlisées.

Pour la première fois, ces enquêtes ne visent pas des faits précis sur une victime identifiée mais ont pour but de retracer le parcours criminel d’Alègre, Lelandais et Van Coppernolle à la recherche d’autres victimes. Elles ont pour cadre la nouvelle loi pour la confiance en l’institution judiciaire qui autorise désormais la justice à relancer des investigations sur des tueurs et violeurs en série ou des criminels condamnés soupçonnés de l’être. Ce texte vient combler une faille juridique dénoncée depuis plusieurs années par les victimes et avocats de victimes. Les juges d’instruction ont en effet longtemps enquêté de manière cloisonnée sur des crimes individuels sans les rapprocher d’autres affaires similaires. Dès lors qu’un suspect était jugé et condamné, il n’était plus possible d’enquêter sur lui. D’autres criminels célèbres aux profils de prédateur pourraient faire l’objet prochainement de ces investigations de parcours de vie, comme Jacques Rançon, surnommé « le tueur de la gare de Perpignan ».

Les nouvelles enquêtes visant Alègre, Lelandais et Van Coppernolle vont être confiées aux services spécialisés de la police et de la gendarmerie, l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) et la Division des affaires non élucidées (Diane). Les enquêteurs vont devoir ainsi repositionner les criminels dans l’espace et le temps sur plusieurs années afin d’identifier leur localisation possible à des endroits où des meurtres et viols non résolus ont été commis. Mais aussi là où des disparitions inexpliquées ou des suicides suspects sont survenus. Relevés bancaires, factures, analyses téléphoniques, témoignages, nouvelles analyses de scellés… voire photos de vacances. Tous ces éléments vont être recueillis, compilés et analysés pour dessiner les trajectoires de ces criminels hors normes.

Patrice Alègre

« l’homme qui aimait tuer les femmes  »
À 54 ans, il a déjà passé près de la moitié de sa vie en prison, condamné à la perpétuité en 2002 pour les meurtres et viols de cinq femmes et le viol d’une sixième. La première victime de la macabre liste de Patrice Alègre fut Valérie Tariote, une collègue du tueur découverte bâillonnée, poignets liés et sous-vêtements déchirés le 27 février 1989 près de la gare de Toulouse. Nouvelle horreur un an plus tard : en janvier 1990, Laure Martinet, étudiante de 19 ans, est retrouvée étranglée et abusée dans la banlieue toulousaine. Sept ans plus tard, Alègre repasse à l’acte. Le 11 février 1997, Martine Matias, 29 ans, est découverte morte dans son appartement en feu. Dix jours plus tard, le tueur en série viole Émilie Espès, qui échappe à la mort et permet aux gendarmes d’identifier Alègre.

Traqué, le videur de boîte de nuit file en Ariège. En juin 1997, il y tue Mireille Normand, une femme de 35 ans chez qui il a emménagé. Alègre fuit alors en Espagne où il rencontre Isabelle Chicherie, 31 ans, qu’il tue en septembre 1997 alors qu’elle l’héberge à Paris. Arrêté quelques jours plus tard, Alègre reconnaît ces cinq meurtres pour lesquels il est condamné à la perpétuité. Un procès qui s’achève sur une question en suspens : le « petit voyou psychopathe prêt à tout » évoqué par les psychiatres a-t-il tout avoué ?

Vingt ans plus tard, la question reste ouverte et les juges du pôle cold cases ont placé le nom de Patrice Alègre, incarcéré à la prison de Moulins (Allier), en haut de la liste des « parcours criminels » à réaliser. Une pratique qui était très peu développée à la fin des années 1990. « On a toujours cru qu’il pouvait y avoir d’autres victimes sans jamais réussir à le prouver, se souvient un ancien gendarme toulousain. Qu’il n’ait pas tué entre 1990 et 1997 a toujours paru étonnant quand on connaît son profil. » Après la condamnation de Patrice Alègre, les enquêteurs de la section de recherches de Toulouse avaient toutefois continué à travailler. Dans un contexte très compliqué et perturbé par l’affaire Dominique Baudis — alors président du CSA, l’ancien maire de Toulouse avait été dénoncé à tort par deux prostituées comme étant lié au tueur en série et impliqué dans un réseau de proxénétisme, voire dans des viols ou des meurtres —, le tueur en série avait été mis en examen pour cinq nouveaux meurtres avant d’obtenir un non-lieu en 2008. Condamné à perpétuité, Patrice Alègre a ensuite été comme oublié par la justice. Depuis 2008, plus aucun magistrat ni service d’enquête n’a donc mené d’investigations sur sa vie et son parcours.

Les juges d’instruction du pôle cold cases vont donc s’y replonger, intrigués notamment par de troublantes déclarations livrées en 1999 par le tueur en série. Alègre avait alors reconnu, avant de revenir sur ses déclarations, le meurtre d’une prostituée toulousaine. Un crime pour lequel il n’a jamais été jugé faute d’éléments indiscutables. Le travail lancé ces derniers jours par les juges de Nanterre vise donc à retracer avec le plus de précision possible son parcours depuis sa jeunesse jusqu’à son arrestation. « À l’époque, l’enquête a surtout consisté à confirmer qu’il avait bien tué les femmes dont il avait avoué les meurtres, note un proche du dossier. Son parcours criminel reste émaillé de trous. »

et le spectre du serial killer
Du meurtrier du caporal Noyer et de la petite Maëlys, les gendarmes connaissent déjà beaucoup. Dans le cadre de la cellule Ariane créée après l’arrestation de l’ancien maître-chien, le Service central de renseignement criminel (SCRC) avait retracé le parcours de Lelandais entre le 1 er janvier 2000 et son placement en garde à vue le 3 septembre 2017. De quoi par exemple affirmer avec certitude que, le 16 avril 2009, Lelandais a rempli un contrat d’assurance pour son véhicule Golf ou qu’il s’est fait remettre en main propre un certificat médical une semaine plus tard à Chambéry, selon le procès-verbal de parcours que nous avons pu consulter.

Des centaines d’indications précises mais qui restent toutefois entrecoupées de blancs couvrant parfois plusieurs semaines. Des vides que les enquêteurs ont dû cesser de remplir après la condamnation de Nordahl Lelandais pour le meurtre de Maëlys, faute de cadre juridique. « Il n’y avait pas d’éléments le liant à un autre crime, donc nous avons dû arrêter d’enquêter sur lui », se souvient Jacques Dallest, l’ancien procureur général de Grenoble, ravi de cette nouvelle opportunité offerte par le pôle cold cases. Au fil de leurs enquêtes sur Lelandais, les enquêteurs et la justice ont ainsi acquis la conviction que l’ancien militaire de 39 ans était un « grand criminel, un grand prédateur », selon les mots du procureur général lors du procès du meurtre de la petite Maëlys.

C’est notamment en raison de cette personnalité « psychopathique » que les juges du pôle cold cases ont choisi à leur tour de s’atteler au parcours criminel de Lelandais, détenu depuis la fin de ses procès au sein de la prison d’Ensisheim (Haut-Rhin). Un cheminement marqué jusque-là par ces six mois de 2017 au cours desquels il a cédé à ses instincts les plus vils. Il y a d’abord l’enlèvement et le meurtre de la fillette de 9 ans, le 27 août 2017 lors d’un mariage au Pont-de-Beauvoisin (Isère). Un crime dont la nature sexuelle a affleuré tout au long de l’instruction, même si Lelandais n’a pas été condamné pour avoir violé Maëlys. L’enquête sur ce meurtre va finalement permettre de révéler les agressions sexuelles commises par Lelandais sur ses petites cousines de 4 et 6 ans peu avant l’enlèvement de Maëlys et le meurtre du caporal Arthur Noyer. Il a abordé ce dernier par hasard un soir d’avril 2017 à Chambéry et l’a battu à mort. Des crimes que le tueur n’a avoués que lorsqu’il fut poussé dans ses retranchements et confronté à des preuves indiscutables.

Reste-t-il donc d’autres crimes que l’ancien militaire garde pour lui ? La question est particulièrement brûlante dans ce secteur des Alpes, où les disparitions et les morts inexpliquées se comptent par dizaines ces dernières années. Au total, la cellule Ariane a ainsi recensé 40 affaires — des disparitions comme des meurtres — dans lesquelles Lelandais était susceptible d’être impliqué. Aucune n’avait pu lui être imputée, mais les juges du nouveau pôle cold cases veulent visiblement pousser plus loin les investigations sur la vie de Lelandais. Les magistrates devraient notamment récupérer dans les prochaines semaines les dossiers des disparus du fort de Tamié, Jean-Christophe Morin et Ahmed Hamadou, qui se sont comme évaporés en 2011 et 2012 à la sortie d’un festival de musique électronique.

Le mystère
Willy Van Coppernolle

Il s’agit pour les enquêteurs français de l’homme le plus mystérieux de cette liste. Âgé de 79 ans, condamné à la perpétuité en 1995, sa vie chemine de la Belgique au sud de la France. Des années plus tard, le Belge sera plus difficile à replacer avec précision sur une carte, mais les juges du pôle cold cases ont pourtant décidé de réaliser le parcours criminel de ce prédateur pointé par des avocats spécialisés depuis des années. La France découvre Willy Van Coppernolle lorsqu’il est arrêté quelques jours après avoir commis deux crimes sordides dans le Gard puis dans l’Aude. Le 27 mars 1993 à Remoulins, il signe l’unique meurtre qui lui est jusqu’ici imputé : le Belge enlève le petit Abdel âgé de 11 ans avant de le tuer à l’aide d’une pierre. Ni l’autopsie ni le procès n’ont permis de savoir s’il avait fait subir des violences sexuelles au garçon. Mais tout dans la vie de Willy Van Coppernolle semble tourner autour de ses perversions. Huit jours après avoir tué Abdel, il menace deux ados de 15 et 16 ans qu’il vient de prendre en stop avec un fusil à pompe, puis les oblige à avoir des rapports sexuels avec lui et entre eux.

Condamné à la perpétuité par la cour d’assises du Gard, Willy Van Coppernolle ne fait alors plus l’objet d’investigations poussées. Tout juste sera-t-il entendu en 2017 par les gendarmes de Grenoble qui enquêtent sur les disparus de l’Isère, ces garçons et filles évaporés ou tués à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Pourtant, selon un bon connaisseur du personnage, « son parcours mérite d’être creusé car il a le profil type du prédateur et on connaît finalement peu son cheminement en France ».

Willy Van Coppernolle est arrêté une première fois en Belgique pour attentat à la pudeur sur mineur en 1983. Plusieurs condamnations suivront. Il erre ensuite en France après avoir été recalé de la Légion étrangère. Sur de longues périodes, son parcours reste un mystère. Ce sont sur ces années que la justice va se pencher. Car il n’était pas du genre à refréner longtemps ses sinistres pulsions. Condamné par la cour d’assises de Valence (Drôme) en 1989 pour attentat à la pudeur avec violence, il était sorti de prison le 23 mars 1993. Quatre jours plus tard, sa route croisait celle du petit Abdel.

Damien Delseny
Damien Delseny

À la recherche du temps perdu

Longtemps, les tueurs en série n’existaient pas en France. C’était une spécialité américaine, un personnage pour scénariste. Pas de ça chez nous. Et puis il y a eu Guy Georges, le violeur et tueur de l’Est parisien, Francis Heaulme, le routard du crime, Michel Fourniret, le chasseur, et bien d’autres. Alors il a bien fallu reconnaître que le crime sériel n’avait pas de frontières, que les prédateurs pouvaient parler français. Qu’ils s’affranchissaient des départements, des régions, que leurs terrains de chasse étaient comme leurs victimes : multiples. Mais une fois identifiés, arrêtés puis jugés, ces tueurs en série devenaient de simples détenus « longues peines ». Le mal était enfermé à double tour. La justice était passée et les dossiers refermés.

Il aura fallu des années et une réforme du droit pour permettre aux policiers, gendarmes et magistrats de réveiller ces volcans endormis. Aujourd’hui, les enquêteurs peuvent se pencher sur les « parcours de vie » de ces hommes souvent condamnés à perpétuité. Que faisaient-ils à 20 ans ? Quand ont-ils ouvert leurs sinistres « palmarès » ? Le premier crime pour lequel ils ont été condamnés était-il bien le premier ? Ont-ils tout dit ? L’objectif de ces nouvelles enquêtes sur Patrice Alègre ou Nordahl Lelandais n’est pas tant de rajouter une mention à leur casier judiciaire déjà noirci. Il est de s’assurer qu’il ne manque pas une étape à leur parcours criminel, et donc surtout une victime. Une victime dont les proches ignorent toujours qui l’a tuée ou fait disparaître et auxquels la justice doit une réponse. Et ne pas attendre, comme pour Michel Fourniret, qu’il soit à l’agonie ou mort pour déterrer de nouveaux cadavres.

La cellule Ariane a recensé 40 affaires dans lesquelles Lelandais était susceptible d’être impliqué

Bonjour à tous
L’adresse de l’entreprise immobilière au nom de François Verove située à Montpellier avant sa fermeture en 2020
Est : 240 avenue des moulins
Hors cette adresse est aussi l’adresse d’un immense complexe de location pour étudiants haut de gamme
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Je ne trouve rien d’autre au 240 avenue des moulins à Montpellier ?
Y aurait-il quelqu’un d’assez doué en informatique pour quelques recherches ?
Verove aurait-il pu être le propriétaire de cet immense complexe immobilier ?

Ness a écrit:Bonjour à tous
L’adresse de l’entreprise immobilière au nom de François Verove située à Montpellier avant sa fermeture en 2020
Est : 240 avenue des moulins
Hors cette adresse est aussi l’adresse d’un immense complexe de location pour étudiants haut de gamme
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Je ne trouve rien d’autre au 240 avenue des moulins à Montpellier ?
Y aurait-il quelqu’un d’assez doué en informatique pour quelques recherches ?
Verove aurait-il pu être le propriétaire de cet immense complexe immobilier ?

Ness, je pense plutôt qu'il s'agissait d'un investissement immobilier de ce type:
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Voilà ce que j'ai pu trouver. Pour moi, d'après mes recherches, 240 et 2400 avenue des moulins à Montpellier est la même adresse.

En fait il y a 55 entreprises à cette adresse, regardez ce lien,
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Rien que la 1ere page ce sont des personnes qui louent des logements

Bonjour Jus57ine,
Bonjour à tous,

Ça doit être un service de domiciliation.
Dans toutes les métropoles, ces structures existent pour les toutes petites entreprises, des associations,  etc.

En plus de l'adressage, elles peuvent fournir des services annexes, tels que location de salles de réunion ou de bureaux de réception, à l'heure ou à la journée ou encore un secrétariat téléphonique, du traitement de texte, etc.

ruth a écrit:Bonjour Jus57ine,
Bonjour à tous,

Ça doit être un service de domiciliation.
Dans toutes les métropoles, ces structures existent pour les toutes petites entreprises, des associations,  etc.

En plus de l'adressage, elles peuvent fournir des services annexes, tels que location de salles de réunion ou de bureaux de réception, à l'heure ou à la journée ou encore un secrétariat téléphonique, du traitement de texte, etc.

Mais dans ce cas la structure devrait apparaître à cette adresse ?
Et le numéro de téléphone aussi ?

ruth a écrit:
D'ailleurs, quelqu'un sait-il s'il a été enterré ou incinéré ? Dans l'intérêt de sa famille, de celles des victimes et d' éventuels "voisins" de cimetière, il serait bon que l'incinération ait été choisie

Non il n'a pas été incinéré, il y eu obstacle - dans le but de faire éventuellement des compléments de recherche si les progrès de la science le permettent - et le corps a été inhumé. En revanche, je ne sais pas où il se trouve. Peut-être dans sa région natale.

Oh dummhet c'est super de vous revoir par ici ! Vous étiez plutôt sur le petit oiseau bleu depuis quelques temps

Bonjour les amis , en faites je pense de plus en plus que françois le foromeur pérsécuteur des croyants devait lire ce forum et même participer ! je pense au participant qui ne voyait que des squats , des sdf et de la teuf !
Pour ma part Mesrine fut systématiquement alors que ces textes étaient intérréssant coupé par des publications farfelues , qui vue le caractères impulsif de notre Mesrine le faisait s " énerver et banire de ce forum !
Hors comme vous savez Mesrine fut policier dans une CRS , basée en banlieue Parisienne , CRS qui pour la plupart surveillent notre conduite sur les routes souvent à moto !
Hors Mesrine avait bien ciblé le profil du grélé soit un policier qui rentre chez lui hors de Paris !
Hors Mesrine disait avoir identifié le tueur !
Et bien si vous réfléchissez vérove s ' il a lue les textes de Mesrine ne devait pas dormir tranquille car tout concordait , soit un collègue qui l ' aurait débusqué , dommage que toutes les infos données par les enquéteurs étaient fausses ! et nous faisaient détournée sur des chemins de travers !

Bonjour Kassandra,
Bonjour Péri et bonjour à tous,

D'ailleurs, sans même montrer de septicisme sur ses certitudes, il était extrêmement désagréable dès le début, dès que certains osaient poster sur ce fil !

C'était d'ailleurs aussi le cas d' un(e) certain(e) Maison, avec beaucoup d'aggressivité et l'amabilité d'... une pirte de prison.
Un fameux duo !

Ce dernier finissait par reconnaître ses tirts, ceci dit.

Quant à Mesrine, bah, désolé, mais son comportement (et son pseudo) étaient celui d'un vrai psychopathe.
Il y en a dans les forces de l'ordre et normalement, on arrive à les détecter et à les virer, ce qui avait peut-être été son cas.

Cette triste  histoire lui était montée au ciboulot avec un manque d'humilité impressionnant.
Il s'identifiait plus ou moins inconsciemment au Grêlé et il ne fallait n'y remettre SON hypothèse en cause, ni pointer ses défaillances (ex : son impuissance).

Sans parler des vendredis ou samedis sours où, quelque peu alcoolisé et/ou sous produit, il insultait tout le monde, avec la plus insane vulgarité.
Et les femmes en particulier, avec des thématiques et des propos sexualisés hallucinants.  

Un vrai gentelman et un homme posé et réfléchi,  

Bref, pour qu'il ait réussi à lasser la très patiente modération, c'est qu'il a bouché le bouchon très, très loin et de nombreuses fois avec ses multiples pseudos.

Perso, je l'avais bloqué.
Je ne m'y résouds que quand c'est impossible à faire autrement.
Et pourtant, je retrouvais forcément ses laïus (et ses insanités, avant passage de la modération) dans le fil.

Bref, laissons-là ce triste sire.
Une chose est sûre : son absence est une bénédiction.

Salut , et bien moi je pense que vérove aurait pu pensé que Mesrine fut un collègue ! d ' ailleurs si tu regarde la façon dont le françois conseiller municipale regarde la personne le prenant en vidéo ont vois dans son regard de la peur ; ça devait sentir la transpiration dans la salle du conseil !
J ' envois , vu le fait que vérove avait un ou des complices ,et aussi les personnes ayants achetés les objets volés ou ayant pas vus sa voiture !