Cold cases résolus
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AFFAIRES RÉSOLUES .... ou presque
affaires TROADEC, DAVAL, Anaïs G, WISSEM, Lucas T., Sophie Narme
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Re: Cold cases résolus
Etats-Unis : 41 ans après, une victime du «clown tueur» identifiée. Pendant quatre décennies, les Haakenson n'ont pas su ce qui était arrivé à Jimmie. Aussi dramatique soit-elle, ils ont désormais une réponse.
Il tuait les jeunes garçons. Entre 1972 et 1978, John Wayne Gacy a fait 33 victimes à Chicago, en Illinois (Etats-Unis). Six de ses victimes n'ont jamais été identifiées. Mais une famille est désormais soulagée : celle de James Byron Haakenson, 16 ans lors de sa disparition en 1976. Le shérif de Cook County a annoncé mercredi que le corps de «Victim n°24» était bien celui du jeune homme que l'on surnommait Jimmie. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il tuait les jeunes garçons. Entre 1972 et 1978, John Wayne Gacy a fait 33 victimes à Chicago, en Illinois (Etats-Unis). Six de ses victimes n'ont jamais été identifiées. Mais une famille est désormais soulagée : celle de James Byron Haakenson, 16 ans lors de sa disparition en 1976. Le shérif de Cook County a annoncé mercredi que le corps de «Victim n°24» était bien celui du jeune homme que l'on surnommait Jimmie. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Nelly
Trente ans après sa disparition, Marc retrouve la dépouille de sa soeur: "Elle avait 30 ans, elle était partie voir le football... " De l'espoir pour les personnes qui recherchent toujours un membre de leur famille
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Cet été, alors qu’une base de données ADN pour les personnes disparues se mettait en place, la cellule des personnes disparues a contacté Marie-Louise. « C’était le 21 août, les membres de la cellule voulaient me voir, avec mon frère, pour des prélèvements ADN. », narre Marie-Louise.
Début septembre les résultats tombaient. Les ADN combinés du frère et de la sœur correspondaient à celui du corps retrouvé à Molenbeek en juillet 1986. Nelly Lauwers venait d’être identifiée, 31 ans après…
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Cet été, alors qu’une base de données ADN pour les personnes disparues se mettait en place, la cellule des personnes disparues a contacté Marie-Louise. « C’était le 21 août, les membres de la cellule voulaient me voir, avec mon frère, pour des prélèvements ADN. », narre Marie-Louise.
Début septembre les résultats tombaient. Les ADN combinés du frère et de la sœur correspondaient à celui du corps retrouvé à Molenbeek en juillet 1986. Nelly Lauwers venait d’être identifiée, 31 ans après…
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meurtre de meurtre de Lucie Beydon 2004 Rennes
Une enquête qui a abouti suite aux nouvelles avancées en matière de recherche ADN. A noter:
1) Il avait été ciblé par sa ressemblance au PR dressé alors qu'on remet souvent en cause les réalisations de PR.
2) Il est connu pour des faits d'exhibitionnisme. Comme dit la profileuse Danièle Zucker dans son livre, il ne faut jamais banaliser ce genre de faits. Il peut être l'arbre qui cache la forêt.
Nicolas Le Bouch, délinquant sexuel récidiviste, est accusé d'avoir tué et tenté de violer une étudiante de 20 ans, en 2004, à Rennes.
L'homme de 40 ans, qui comparaît détenu, est accusé d'une tentative de viol et du meurtre de Lucie Beydon, tuée d'une vingtaine de coups de couteau. Il a reconnu l'homicide pendant l'instruction, pas le crime sexuel. L'accusé, chez qui l'expert psychiatre a relevé un fonctionnement de « nature perverse », a longtemps échappé aux enquêteurs, mais a finalement été trahi au bout de dix ans par son ADN et les progrès de la science.
A l'époque employé dans une pizzeria, Nicolas Le Bouch avait été entendu comme témoin un mois après le crime. Motif : il correspondait au portrait-robot d'un suspect aperçu assis sur des marches en face de l'immeuble de la victime, le soir des faits.
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1) Il avait été ciblé par sa ressemblance au PR dressé alors qu'on remet souvent en cause les réalisations de PR.
2) Il est connu pour des faits d'exhibitionnisme. Comme dit la profileuse Danièle Zucker dans son livre, il ne faut jamais banaliser ce genre de faits. Il peut être l'arbre qui cache la forêt.
Nicolas Le Bouch, délinquant sexuel récidiviste, est accusé d'avoir tué et tenté de violer une étudiante de 20 ans, en 2004, à Rennes.
L'homme de 40 ans, qui comparaît détenu, est accusé d'une tentative de viol et du meurtre de Lucie Beydon, tuée d'une vingtaine de coups de couteau. Il a reconnu l'homicide pendant l'instruction, pas le crime sexuel. L'accusé, chez qui l'expert psychiatre a relevé un fonctionnement de « nature perverse », a longtemps échappé aux enquêteurs, mais a finalement été trahi au bout de dix ans par son ADN et les progrès de la science.
A l'époque employé dans une pizzeria, Nicolas Le Bouch avait été entendu comme témoin un mois après le crime. Motif : il correspondait au portrait-robot d'un suspect aperçu assis sur des marches en face de l'immeuble de la victime, le soir des faits.
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Re: Cold cases résolus
Pays Bas: une enquête résolue grâce à la découverte d'un ADN apparenté
Trahi par son ADN, 25 ans après son crime
Un suspect a été interpellé pour le meurtre d'une jeune femme en 1992 grâce au prélèvement d'ADN auprès d'environ 130 hommes dans le cadre d'une enquête à grande échelle.
Arrêté samedi, le suspect de 47 ans, originaire de Zaandam, est un parent d'une personne qui a donné volontairement son ADN, semblable mais pas identique à celui retrouvé sur le corps de la jeune victime.
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Trahi par son ADN, 25 ans après son crime
Un suspect a été interpellé pour le meurtre d'une jeune femme en 1992 grâce au prélèvement d'ADN auprès d'environ 130 hommes dans le cadre d'une enquête à grande échelle.
Arrêté samedi, le suspect de 47 ans, originaire de Zaandam, est un parent d'une personne qui a donné volontairement son ADN, semblable mais pas identique à celui retrouvé sur le corps de la jeune victime.
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Meurtre de Stéphanie Fauviaux
15 octobre 2016
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L’ancien gendarme Lylian Legrand est à nouveau jugé en appel
Saint-Omer
Au procès du meurtre de Stéphanie Fauviaux, un témoignage qui fait froid dans le dos
Jugé à partir de ce mercredi en appel par la cour d’assises du Pas-de-Calais pour un meurtre commis en 1995, l’ancien gendarme Lylian Legrand suit la même ligne de défense que lors de son premier procès. Mais un nouveau témoignage l’accuse de harcèlement.
Une ancienne gendarmette de Rosny-sous-Bois, le centre technique de la gendarmerie, raconte à la barre qu’elle a spontanément écrit à la justice après le premier procès. Parce qu’elle s’étonnait de ne pas avoir été entendue dans l’enquête de personnalité de l’accusé. Ce qu’elle raconte fait froid dans le dos.
« Aujourd’hui encore, je risque ma carrière en parlant devant la cour »
Elle pointe des « exhibitions », jurant que Lylian Legrand se baladait nu sur son balcon au sein de la caserne. Elle évoque aussi des visites fréquentes de son supérieur à sa colocataire, surtout quand la jeune gendarmette est seule. « Il la draguait lourdement », insiste-t-elle. Le mimétisme avec les circonstances du meurtre de Stéphanie embue les yeux des proches de la victime.
La gendarmette affirme avoir signalé les faits à sa hiérarchie. « L’affaire est restée dans le bureau de nos supérieurs. Aujourd’hui encore, je risque ma carrière en parlant devant la cour », assume la jeune femme. L’image du « bon gendarme » est écornée.
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L’ancien gendarme Lylian Legrand est à nouveau jugé en appel
Saint-Omer
Au procès du meurtre de Stéphanie Fauviaux, un témoignage qui fait froid dans le dos
Jugé à partir de ce mercredi en appel par la cour d’assises du Pas-de-Calais pour un meurtre commis en 1995, l’ancien gendarme Lylian Legrand suit la même ligne de défense que lors de son premier procès. Mais un nouveau témoignage l’accuse de harcèlement.
Une ancienne gendarmette de Rosny-sous-Bois, le centre technique de la gendarmerie, raconte à la barre qu’elle a spontanément écrit à la justice après le premier procès. Parce qu’elle s’étonnait de ne pas avoir été entendue dans l’enquête de personnalité de l’accusé. Ce qu’elle raconte fait froid dans le dos.
« Aujourd’hui encore, je risque ma carrière en parlant devant la cour »
Elle pointe des « exhibitions », jurant que Lylian Legrand se baladait nu sur son balcon au sein de la caserne. Elle évoque aussi des visites fréquentes de son supérieur à sa colocataire, surtout quand la jeune gendarmette est seule. « Il la draguait lourdement », insiste-t-elle. Le mimétisme avec les circonstances du meurtre de Stéphanie embue les yeux des proches de la victime.
La gendarmette affirme avoir signalé les faits à sa hiérarchie. « L’affaire est restée dans le bureau de nos supérieurs. Aujourd’hui encore, je risque ma carrière en parlant devant la cour », assume la jeune femme. L’image du « bon gendarme » est écornée.
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Meurtre de Stéphanie Fauviaux
Trente ans de réclusion et une peine de sûreté requise à l’encontre de Lylian Legrand
L’avocat général a majoré ses réquisitions ce mardi matin à l’encontre du gendarme, jugé en appel pour avoir tué Stéphanie Fauviaux en 1995. Luc Frémiot a demandé à la cour de le condamner à la peine maximale, assortie de 20 ans de sûreté.
« J’ai rarement entendu autant d’indécence », vitupère Luc Frémiot à l’encontre de Lylian Legrand, jugé depuis mercredi pour meurtre et tentative de viol devant la cour d’assises de Saint-Omer. « Vous êtes confit dans vos mensonges, fossilisé dans votre lâcheté, momifié dans votre indécence », insiste-t-il à l’adresse du gendarme de 46 ans. Luc Frémiot fustige une ligne de défense qui « sème le brouillard », en distillant d’autres coupables potentiels et cherchant à salir la victime.
La « discrète perversité » de l’accusé
Les parents de Stéphanie, son frère, sa sœur, encaissent, admirables de dignité. « Ils se sont toujours accrochés, ils n’ont pas laissé tomber », souligne leur avocat, Me Gildas Brochen, faisant référence à une enquête longue de dix-sept ans. Tout comme Vincent, le petit ami de l’étudiante, venu pleurer la veille « son amour assassiné » et « dont la présence, vingt-deux ans après, dit tout de Stéphanie », estime l’avocat général.
Et de rappeler que les experts psy ont pointé la « discrète perversité » de l’accusé et son « rapport de consommation sexuelle » avec les femmes. « Il n’y a plus l’ombre d’un doute sur sa culpabilité, on est dans une démonstration », pointe le magistrat.
Verdict attendu mercredi
Autant d’éléments qui le conduisent à majorer ses réquisitions. Devant la cour d’assises de Douai, en octobre 2016, Luc Frémiot avait demandé 30 ans de réclusion, suivi par la cour. La peine de sûreté des deux tiers exclut le cheminement que l’avocat général pensait encore possible il y a un an.
Ce mardi après-midi, on entendra les avocates de la défense pour un verdict attendu demain mercredi dans ce deuxième procès qui, de l’aveu de Me Brochen, « a montré peu d’évolution, voire pas d’évolution du tout. »
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L’avocat général a majoré ses réquisitions ce mardi matin à l’encontre du gendarme, jugé en appel pour avoir tué Stéphanie Fauviaux en 1995. Luc Frémiot a demandé à la cour de le condamner à la peine maximale, assortie de 20 ans de sûreté.
« J’ai rarement entendu autant d’indécence », vitupère Luc Frémiot à l’encontre de Lylian Legrand, jugé depuis mercredi pour meurtre et tentative de viol devant la cour d’assises de Saint-Omer. « Vous êtes confit dans vos mensonges, fossilisé dans votre lâcheté, momifié dans votre indécence », insiste-t-il à l’adresse du gendarme de 46 ans. Luc Frémiot fustige une ligne de défense qui « sème le brouillard », en distillant d’autres coupables potentiels et cherchant à salir la victime.
La « discrète perversité » de l’accusé
Les parents de Stéphanie, son frère, sa sœur, encaissent, admirables de dignité. « Ils se sont toujours accrochés, ils n’ont pas laissé tomber », souligne leur avocat, Me Gildas Brochen, faisant référence à une enquête longue de dix-sept ans. Tout comme Vincent, le petit ami de l’étudiante, venu pleurer la veille « son amour assassiné » et « dont la présence, vingt-deux ans après, dit tout de Stéphanie », estime l’avocat général.
Et de rappeler que les experts psy ont pointé la « discrète perversité » de l’accusé et son « rapport de consommation sexuelle » avec les femmes. « Il n’y a plus l’ombre d’un doute sur sa culpabilité, on est dans une démonstration », pointe le magistrat.
Verdict attendu mercredi
Autant d’éléments qui le conduisent à majorer ses réquisitions. Devant la cour d’assises de Douai, en octobre 2016, Luc Frémiot avait demandé 30 ans de réclusion, suivi par la cour. La peine de sûreté des deux tiers exclut le cheminement que l’avocat général pensait encore possible il y a un an.
Ce mardi après-midi, on entendra les avocates de la défense pour un verdict attendu demain mercredi dans ce deuxième procès qui, de l’aveu de Me Brochen, « a montré peu d’évolution, voire pas d’évolution du tout. »
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Docteur Godart?
2018
Côtes-d’Armor : un crâne de petite taille découvert sur une plage Découvert sur une plage par une pêcheuse à pied, le crâne a été envoyé à Nantes pour des expertises ADN.
Cette triste découverte pourrait forcer les autorités à dépoussiérer le dossier d’une vieille affaire judiciaire. Un crâne de petite taille a été retrouvé mercredi sur une plage de Saint-Laurent-de-la-Mer, près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). Si rien ne permet de faire le lien entre les deux affaires, la mise au jour par une pêcheuse à pied de ce crâne appartenant sans doute à un enfant pourrait raviver l’affaire Godard, vieille de près de 20 ans, explique Ouest-France qui révèle l’information.
Le 1er septembre 1999, Yves Godard, médecin de Caen (Calvados) de 44 ans, avait quitté le port de Saint-Malo sur un voilier de location avec ses deux enfants, Camille, 6 ans, et Marius 4 ans.
Le crâne de Camille repêché en 2000
Un an plus tard, le crâne de Camille avait été repêché par les marins d’un chalutier et un fémur du docteur Godard avait été identifié en 2006. Tous trois n’avaient jamais été revus. Quant à Marie-France Godard, épouse et mère de famille, elle n’a jamais été retrouvée sans que l’on sache si elle avait participé à l’équipée maritime.
Ce vendredi, le procureur de la République de Saint-Brieuc a précisé à Ouest-France qu’«il n’y a pas eu de disparition d’enfant signalée ici». Le petit crâne a été transféré à l’institut génétique de Nantes (Loire-Atlantique) pour des expertises ADN.
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Côtes-d’Armor : un crâne de petite taille découvert sur une plage Découvert sur une plage par une pêcheuse à pied, le crâne a été envoyé à Nantes pour des expertises ADN.
Cette triste découverte pourrait forcer les autorités à dépoussiérer le dossier d’une vieille affaire judiciaire. Un crâne de petite taille a été retrouvé mercredi sur une plage de Saint-Laurent-de-la-Mer, près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). Si rien ne permet de faire le lien entre les deux affaires, la mise au jour par une pêcheuse à pied de ce crâne appartenant sans doute à un enfant pourrait raviver l’affaire Godard, vieille de près de 20 ans, explique Ouest-France qui révèle l’information.
Le 1er septembre 1999, Yves Godard, médecin de Caen (Calvados) de 44 ans, avait quitté le port de Saint-Malo sur un voilier de location avec ses deux enfants, Camille, 6 ans, et Marius 4 ans.
Le crâne de Camille repêché en 2000
Un an plus tard, le crâne de Camille avait été repêché par les marins d’un chalutier et un fémur du docteur Godard avait été identifié en 2006. Tous trois n’avaient jamais été revus. Quant à Marie-France Godard, épouse et mère de famille, elle n’a jamais été retrouvée sans que l’on sache si elle avait participé à l’équipée maritime.
Ce vendredi, le procureur de la République de Saint-Brieuc a précisé à Ouest-France qu’«il n’y a pas eu de disparition d’enfant signalée ici». Le petit crâne a été transféré à l’institut génétique de Nantes (Loire-Atlantique) pour des expertises ADN.
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Dernière édition par Kassandra88 le Sam 11 Jan - 1:29, édité 1 fois
Affaire Seznec
Un ossement dont l'origine serait humaine retrouvé lors des fouilles
Cette investigation, menée par des bénévoles, a été relancée par le témoignage contenu d'un ouvrage écrit par Denis Langlois, ex-avocat de la famille Seznec, Pour en finir avec l'affaire Seznec.
Le témoignage est celui de "Petit Guillaume", l'un des enfants du couple Seznec, qui avait 11 ans à l'époque des faits. Il raconte avoir entendu sa mère repousser les avances d'un certain "Pierre", puis avoir vu Quémeneur par terre et sa mère devant lui. "C'est la confirmation" de ce témoignage, se félicite M. Langlois. "Ce serait une agression sexuelle dont sa mère aurait été victime. Elle se serait défendue en frappant Quémeneur. Guillaume Seznec n'est pas coupable de ça. Son innocence doit être reconnue", demande-t-il.
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Cette investigation, menée par des bénévoles, a été relancée par le témoignage contenu d'un ouvrage écrit par Denis Langlois, ex-avocat de la famille Seznec, Pour en finir avec l'affaire Seznec.
Le témoignage est celui de "Petit Guillaume", l'un des enfants du couple Seznec, qui avait 11 ans à l'époque des faits. Il raconte avoir entendu sa mère repousser les avances d'un certain "Pierre", puis avoir vu Quémeneur par terre et sa mère devant lui. "C'est la confirmation" de ce témoignage, se félicite M. Langlois. "Ce serait une agression sexuelle dont sa mère aurait été victime. Elle se serait défendue en frappant Quémeneur. Guillaume Seznec n'est pas coupable de ça. Son innocence doit être reconnue", demande-t-il.
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Dernière édition par Kassandra88 le Dim 25 Fév - 23:57, édité 1 fois
Re: Cold cases résolus
La question est donc maintenant : possède -t-on l'ADN de Quemeneur pour pouvoir faire des comparaisons avec cet ossement ? A-t-il des descendants qui permettraient de le reconstituer ?
Electra
Affaire Seznec
Electra a écrit:La question est donc maintenant : possède -t-on l'ADN de Quemeneur pour pouvoir faire des comparaisons avec cet ossement ? A-t-il des descendants qui permettraient de le reconstituer ?
Bonjour Electra,
Bonne question.La réponse se trouve ici
Des expertises ADN devraient, dans les semaines qui viennent, déterminer s'il s'agit, oui ou non, de lui.note Denis Langlois, ex-avocat de la famille Seznec (entre 1976 et 1990). « Il n'a pas eu d'enfants, mais il reste encore des descendants (NDLR : Pierre Quémeneur avait des frères et sœurs), qui pourront permettre des comparaisons avec l'ADN extrait des os retrouvés. »
Sinon:
Un deuxième os a été découvert ce dimanche dans l'ancienne maison des Seznec à Morlaix (Finistère). L'ADN devra dire s'il s'agit du corps de la victime de ce célèbre dossier criminel.
ll s'agirait d'un haut de fémur de quelques centimètres, comme l'a révélé Le Télégramme dimanche, qui viendrait donc s'ajouter à la tête de fémur découverte samedi, sur ce chantier de fouilles alors bénévoles.
Pour autant qu'on puisse retrouver le squelette entier, il y a des éléments connus: sa taille — 1,57 m —, de son âge — 45 ans — et de son relevé dentaire, si tant est qu'on retrouve son crâne, on lui connaît également une fracture du nez.
« A l'époque, la police avait fouillé la maison, mais Petit-Guillaume étant resté muet quant à ce qu'il dit avoir vu, les recherches n'ont pas été plus poussées que cela, note Denis Langlois. Toujours est-il que, s'il s'avérait que les fragments de corps retrouvés sont ceux de Quémeneur, la révision du dossier pourrait être engagée d'office — après quatorze demandes de révision rejetées. Pour moi, Seznec serait vraisemblablement reconnu comme complice, mais blanchi de l'homicide. En revanche, il resterait coupable de faux en écriture ».
Pour Langlois, qui, à l'instar de Bertrand Vilain, a été entendu par la PJ dimanche, « si la commission des révisions est saisie, la procédure pourra prendre des mois ». Mais il promet : « Nous ne laisserons pas le dossier s'endormir, car l'affaire Seznec pourrait bien incarner le symbole de toutes les victimes d'erreurs judiciaires. »
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Re: Cold cases résolus
Mais d'autres le nient ... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
<<Le médecin-légiste de la police judiciaire, qui a été le premier à examiner les restes, aurait assuré qu'il s'agit bien d'un os humain. Un premier avis qui aurait été confirmé par une IRM pratiqué à l'hôpital Morvan de Brest. Par ailleurs, d'autres os, au moins trois, auraient été retrouvés au même endroit depuis la première découverte.
Selon le journal le Télégramme, les os ont été confiés par la justice à un anthropologue de Rennes, qui ne rendra pas son avis avant quinze jours. >>
Résultats de la controverse dans une quinzaine de jours, il faut patienter.
<<Le médecin-légiste de la police judiciaire, qui a été le premier à examiner les restes, aurait assuré qu'il s'agit bien d'un os humain. Un premier avis qui aurait été confirmé par une IRM pratiqué à l'hôpital Morvan de Brest. Par ailleurs, d'autres os, au moins trois, auraient été retrouvés au même endroit depuis la première découverte.
Selon le journal le Télégramme, les os ont été confiés par la justice à un anthropologue de Rennes, qui ne rendra pas son avis avant quinze jours. >>
Résultats de la controverse dans une quinzaine de jours, il faut patienter.
Electra
Re: Cold cases résolus
Electra a écrit:Mais d'autres le nient ... http://www.charentelibre.fr/2018/02/26/affaire-seznec-deux-scientifiques-charentais-affirment-que-l-os-decouvert-appartient-a-un-bovide,3215142.php
<<Le médecin-légiste de la police judiciaire, qui a été le premier à examiner les restes, aurait assuré qu'il s'agit bien d'un os humain. Un premier avis qui aurait été confirmé par une IRM pratiqué à l'hôpital Morvan de Brest. Par ailleurs, d'autres os, au moins trois, auraient été retrouvés au même endroit depuis la première découverte.
Selon le journal le Télégramme, les os ont été confiés par la justice à un anthropologue de Rennes, qui ne rendra pas son avis avant quinze jours. >>
Résultats de la controverse dans une quinzaine de jours, il faut patienter.
Surprise que l'IRM ne suffise pas à déterminer de façon incontestable s'il s'agit ou non d'un os humain ! C'est fou que ce soit si compliqué ...
Fauvette
Re: Cold cases résolus
Bonjour Fauvette, tout à fait d'accord pour l'IRM, c'est pour ça qu'on peut se demander si l'os montré en photo (par des journalistes donc) et sur lequel les experts charentais se prononcent est bien celui qui a été trouvé, et pas une simple illustration de l'article ! Avec les journalistes, je m'attends toujours à tout... (et surtout n'importe quoi )
Electra
le violeur de la Sambre
Un viol survenu en Belgique permet d'élucider des dizaines d'enquêtes non résolues depuis 30 ans:
Depuis 30 ans, une vingtaine de viols restaient non élucidés dans le nord de la France. Un suspect a été arrêté ce lundi 26 février à côté de Maubeuge. Son ADN correspond à celui qui restait jusque-là inconnu.
L'enquête s'est jouée la semaine dernière en Belgique, où une femme a été victime d'un viol. Les enquêteurs recueillent alors son témoignage et émettent un signalement. Côté français, les forces de l'ordre sont également informées. Et c'est la police judiciaire de Lille qui fait alors le rapprochement. Cette dernière croit reconnaître un mode opératoire qu'elle a repéré sur une vingtaine de cas de viols en France. Des affaires qui sont restées non élucidées.
Grâce à la coopération avec la Belgique et grâce à la vidéosurveillance, la police judiciaire française identifie en partie la voiture du suspect. Un véhicule finalement repéré le weekend dernier à côté de Maubeuge, dans le département du Nord. Le suspect, arrêté lundi 26 février, a été placé en garde à vue.
30 ans d'affaires non élucidées
Grâce aux analyses scientifiques, les enquêteurs ont découvert que l'ADN retrouvé dans cette dernière affaire est le même que celui qu'ils ont depuis 30 ans sur une vingtaine de viols non élucidés. Le crime le plus ancien remonte à 1988.
Pendant 30 ans cet homme d’une cinquantaine d’années est passé entre les mailles du filet. Faute d'un ADN identifié, ce dernier n'avait jamais été mis en cause dans les multiples affaires de viol ou d'agressions sexuelles.
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le violeur de la Sambre
Kassandra88 a écrit:En garde à vue, le suspect a reconnu les faits. Il y a aujourd'hui une vingtaine d'affaires pour lesquelles l'ADN est formel mais les enquêteurs ont des doutes sur une trentaine d'autres. À l'issue de sa garde à vue, l'homme interpellé devrait être mis en examen mercredi 28 février.
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Il s'appelle Dino Scala.
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le violeur de la Sambre
Un profil de "monsieur Tout-le-Monde", le dernier qu'on aurait soupçonné....qui lui a permis de passer inaperçu pendant 30 ans.
Un homme décrit comme serviable et très impliqué dans la vie associative, très loin du profil d’un agresseur glaçant.
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Un homme décrit comme serviable et très impliqué dans la vie associative, très loin du profil d’un agresseur glaçant.
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Affaire Seznec
Electra a écrit:Bonjour Fauvette, tout à fait d'accord pour l'IRM, c'est pour ça qu'on peut se demander si l'os montré en photo (par des journalistes donc) et sur lequel les experts charentais se prononcent est bien celui qui a été trouvé, et pas une simple illustration de l'article ! Avec les journalistes, je m'attends toujours à tout... (et surtout n'importe quoi )
Aujourd'hui: c'est "animal"
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Re: Cold cases résolus
"Un profil de "monsieur Tout-le-Monde", le dernier qu'on aurait soupçonné..."
Un phénomène courant lorsqu'on confond un tueur ou un violeur en série. Le "syndrome du garçon d'à côté." On est en plein dedans. Un article de la profileuse sud-africaine Micki Pistorius sur le sujet.
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Un phénomène courant lorsqu'on confond un tueur ou un violeur en série. Le "syndrome du garçon d'à côté." On est en plein dedans. Un article de la profileuse sud-africaine Micki Pistorius sur le sujet.
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Cyclope
Dino Scalale violeur de la Sambre
Lieux des agressions:
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Dino Scala présentait des ressemblances avec le portrait-robot établi en 2009 par les enquêteurs belges. DR
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Ahhhh je vois que le Soir a ôté le sien pffff (il était encore sur la page il y a quelques jours)
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Dino Scala présentait des ressemblances avec le portrait-robot établi en 2009 par les enquêteurs belges. DR
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Ahhhh je vois que le Soir a ôté le sien pffff (il était encore sur la page il y a quelques jours)
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