Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
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affaires TROADEC, DAVAL, Anaïs G, WISSEM, Lucas T., Sophie Narme
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Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
2018
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Depuis août 1987, les gendarmes tentaient d’identifier cette petite fille battue à mort et abandonnée sur l’autoroute près de Blois. Un couple de sexagénaires, qui seraient ses parents, doit être présenté ce jeudi à un juge.
Près de trente-et-un ans après la découverte du corps d’une fillette, battue à mort et abandonnée sur l’autoroute près de Blois (Loir-et-Cher), en août 1987, le mystère est en passe d’être résolu.
Les gendarmes ont placé en garde à vue un couple de sexagénaires, qui seraient les parents de la petite martyre de l’A10. Ils doivent être présentés à un juge d’instruction à Blois ce jeudi, indiquent La Nouvelle République et Europe 1.
Le 11 août 1987, à la hauteur de la commune de Suèvres, près de la sortie Blois, en direction de la province, des agents d’entretien de l’autoroute avaient découvert dans un fossé, enveloppée dans une couverture, la dépouille d’une fillette aux boucles brunes.
La petite victime avait alors entre 3 et 5 ans. Son corps portait de nombreuses traces de sévices : brûlures au fer à repasser, fractures anciennes, mamelon du sein gauche arraché avec les dents. Elle est morte « exsangue », des suites non pas d’un coup en particulier, mais de mois voire d’années de mauvais traitements.
Les empreintes génétiques des parents
Depuis cette date, les gendarmes de la section de recherches d’Orléans ont multiplié les investigations pour tenter d’identifier cette fillette et mettre la main sur ses parents, dont tout porte à croire qu’ils ont été ses bourreaux.
Pour seuls indices, mais oh combien précieux, les gendarmes disposaient de plusieurs empreintes génétiques recueillies sur la couverture qui recouvrait la petite martyre. Ils savaient surtout que ces empreintes appartenaient à des membres de la famille de la victime, notamment les parents.
Cette carte d’identité génétique, qui tournait chaque jour sur les fichiers français et européens, n’avait jusqu’alors pas livré de nom. Mais à l’automne dernier, coup de théâtre avec l’arrestation d’un homme dans une banale affaire. Son ADN est confronté au fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg) et « matche » aussitôt. Il s’agit du frère de la fillette.
Ces derniers mois, les enquêteurs ont remonté minutieusement la piste de cette famille pour cibler et surveiller les parents recherchés. Ce couple de sexagénaires a finalement été interpellé mardi dans le nord de la région parisienne, précise La Nouvelle République. La comparaison de leur ADN prouverait qu’il sont bien les parents de l’enfant.
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Depuis août 1987, les gendarmes tentaient d’identifier cette petite fille battue à mort et abandonnée sur l’autoroute près de Blois. Un couple de sexagénaires, qui seraient ses parents, doit être présenté ce jeudi à un juge.
Près de trente-et-un ans après la découverte du corps d’une fillette, battue à mort et abandonnée sur l’autoroute près de Blois (Loir-et-Cher), en août 1987, le mystère est en passe d’être résolu.
Les gendarmes ont placé en garde à vue un couple de sexagénaires, qui seraient les parents de la petite martyre de l’A10. Ils doivent être présentés à un juge d’instruction à Blois ce jeudi, indiquent La Nouvelle République et Europe 1.
Le 11 août 1987, à la hauteur de la commune de Suèvres, près de la sortie Blois, en direction de la province, des agents d’entretien de l’autoroute avaient découvert dans un fossé, enveloppée dans une couverture, la dépouille d’une fillette aux boucles brunes.
La petite victime avait alors entre 3 et 5 ans. Son corps portait de nombreuses traces de sévices : brûlures au fer à repasser, fractures anciennes, mamelon du sein gauche arraché avec les dents. Elle est morte « exsangue », des suites non pas d’un coup en particulier, mais de mois voire d’années de mauvais traitements.
Les empreintes génétiques des parents
Depuis cette date, les gendarmes de la section de recherches d’Orléans ont multiplié les investigations pour tenter d’identifier cette fillette et mettre la main sur ses parents, dont tout porte à croire qu’ils ont été ses bourreaux.
Pour seuls indices, mais oh combien précieux, les gendarmes disposaient de plusieurs empreintes génétiques recueillies sur la couverture qui recouvrait la petite martyre. Ils savaient surtout que ces empreintes appartenaient à des membres de la famille de la victime, notamment les parents.
Cette carte d’identité génétique, qui tournait chaque jour sur les fichiers français et européens, n’avait jusqu’alors pas livré de nom. Mais à l’automne dernier, coup de théâtre avec l’arrestation d’un homme dans une banale affaire. Son ADN est confronté au fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg) et « matche » aussitôt. Il s’agit du frère de la fillette.
Ces derniers mois, les enquêteurs ont remonté minutieusement la piste de cette famille pour cibler et surveiller les parents recherchés. Ce couple de sexagénaires a finalement été interpellé mardi dans le nord de la région parisienne, précise La Nouvelle République. La comparaison de leur ADN prouverait qu’il sont bien les parents de l’enfant.
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Dernière édition par Kassandra88 le Mer 12 Juin 2019 - 14:04, édité 2 fois
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
rappel des faits:
Le 11 août 1987, une enfant d’environ 3 ans est retrouvée morte, le visage tuméfié, sur le bord de l’A 10, à une quinzaine de kilomètres de Beaugency. Trente ans plus tard, on ignore toujours qui elle était et ce qui s’est passé.
Elle n’a pas de nom. Pas d’âge. Pas de parents connus. A-t-elle seulement jamais existé ? Depuis 30 ans, les gendarmes n’ont pas trouvé un instituteur, un médecin, une assistante sociale pour se souvenir l’avoir croisée. Elle s’est effacée des mémoires, elle a disparu des registres d’état-civil, des dossiers administratifs. Elle a les yeux clos pour toujours sur le seul portrait que l’on connaît d’elle.
« Une plaie de la tête aux pieds »
Le mardi 11 août 1987, vers 15 h 20, il y a tout juste trente ans, deux employés de Cofiroute fauchent des herbes sur le bord de l’A 10 en direction de Blois quand leur regard est attiré par un plaid, dans le fossé. À l’intérieur se trouve le corps sans vie d’une fillette aux boucles brunes vêtue d’un tee-shirt, d’un short et d’une robe de chambre à carreaux bleus. Brûlures de fer à repasser, traces de morsures humaines, fractures jamais soignées : celle que la presse va baptiser « la petite martyre de l’A 10 » porte la trace de violences terribles et répétées.
« Cette enfant n’était qu’une plaie de la tête aux pieds », résume le procureur de la République de Blois, avec effroi. L’autopsie confirme qu’il n’y a pas eu une seule blessure mortelle?; c’est l’ensemble des sévices subis qui est à l’origine du décès de l’enfant, âgée de cinq ans tout au plus. Le créneau de la mort se situe entre 11 heures et 13 heures, soit deux à quatre heures avant la découverte du corps.
Une photo jugée d’abord impubliable
Les meurtriers se sont-ils précipitamment arrêtés sur la bande d’arrêt d’urgence, pour se débarrasser du cadavre, en plein jour et sous le regard de dizaines d’automobilistes?? Ou sont-ils venus par le petit chemin agricole qui, depuis le village de Suèvres, permet également d’accéder au fossé?
Les gendarmes n’ont qu’une seule certitude : puisque cette petite fille n’a été réclamée par personne, les meurtriers ne peuvent être que ses parents.
Près de 30.000 portraits-robots – la photo de son visage tuméfié est si choquante qu’elle est jugée impubliable en l’état – sont diffusés à travers la France. À partir de la rentrée de septembre, ce sont plus de 65.000 écoles maternelles qui sont démarchées pour savoir si cette fillette a pu fréquenter un établissement. En vain.
Dans un premier temps, les enquêteurs ont pu penser que la fillette, dont les origines maghrébines seront confirmées bien plus tard par des analyses ADN, n’avait fait que traverser la France, son corps étant abandonné en plein mois d’août sur la « route des vacances », dans le sens nord-sud.
Mais, en décembre 1987, l’analyse de fragments de quartz et de plastique – des morceaux de cônes de chantier – retrouvés dans les fibres de sa robe de chambre atteste qu’elle a bien séjourné dans la région. « Dans un périmètre délimité par Blois, Oucques, Ouzouer-le-Marché, Marchenoir et Meung-sur-Loire », précisait la justice en 2012.
Les appels à témoin maintes fois renouvelé n’ont, depuis, jamais permis d’éclaircir le mystère. Dans le cimetière de Suèvres, où la fillette a été inhumée, une petite tombe blanche soigneusement entretenue par la municipalité attend toujours un nom.
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Le 11 août 1987, une enfant d’environ 3 ans est retrouvée morte, le visage tuméfié, sur le bord de l’A 10, à une quinzaine de kilomètres de Beaugency. Trente ans plus tard, on ignore toujours qui elle était et ce qui s’est passé.
Elle n’a pas de nom. Pas d’âge. Pas de parents connus. A-t-elle seulement jamais existé ? Depuis 30 ans, les gendarmes n’ont pas trouvé un instituteur, un médecin, une assistante sociale pour se souvenir l’avoir croisée. Elle s’est effacée des mémoires, elle a disparu des registres d’état-civil, des dossiers administratifs. Elle a les yeux clos pour toujours sur le seul portrait que l’on connaît d’elle.
« Une plaie de la tête aux pieds »
Le mardi 11 août 1987, vers 15 h 20, il y a tout juste trente ans, deux employés de Cofiroute fauchent des herbes sur le bord de l’A 10 en direction de Blois quand leur regard est attiré par un plaid, dans le fossé. À l’intérieur se trouve le corps sans vie d’une fillette aux boucles brunes vêtue d’un tee-shirt, d’un short et d’une robe de chambre à carreaux bleus. Brûlures de fer à repasser, traces de morsures humaines, fractures jamais soignées : celle que la presse va baptiser « la petite martyre de l’A 10 » porte la trace de violences terribles et répétées.
« Cette enfant n’était qu’une plaie de la tête aux pieds », résume le procureur de la République de Blois, avec effroi. L’autopsie confirme qu’il n’y a pas eu une seule blessure mortelle?; c’est l’ensemble des sévices subis qui est à l’origine du décès de l’enfant, âgée de cinq ans tout au plus. Le créneau de la mort se situe entre 11 heures et 13 heures, soit deux à quatre heures avant la découverte du corps.
Une photo jugée d’abord impubliable
Les meurtriers se sont-ils précipitamment arrêtés sur la bande d’arrêt d’urgence, pour se débarrasser du cadavre, en plein jour et sous le regard de dizaines d’automobilistes?? Ou sont-ils venus par le petit chemin agricole qui, depuis le village de Suèvres, permet également d’accéder au fossé?
Les gendarmes n’ont qu’une seule certitude : puisque cette petite fille n’a été réclamée par personne, les meurtriers ne peuvent être que ses parents.
Près de 30.000 portraits-robots – la photo de son visage tuméfié est si choquante qu’elle est jugée impubliable en l’état – sont diffusés à travers la France. À partir de la rentrée de septembre, ce sont plus de 65.000 écoles maternelles qui sont démarchées pour savoir si cette fillette a pu fréquenter un établissement. En vain.
Dans un premier temps, les enquêteurs ont pu penser que la fillette, dont les origines maghrébines seront confirmées bien plus tard par des analyses ADN, n’avait fait que traverser la France, son corps étant abandonné en plein mois d’août sur la « route des vacances », dans le sens nord-sud.
Mais, en décembre 1987, l’analyse de fragments de quartz et de plastique – des morceaux de cônes de chantier – retrouvés dans les fibres de sa robe de chambre atteste qu’elle a bien séjourné dans la région. « Dans un périmètre délimité par Blois, Oucques, Ouzouer-le-Marché, Marchenoir et Meung-sur-Loire », précisait la justice en 2012.
Les appels à témoin maintes fois renouvelé n’ont, depuis, jamais permis d’éclaircir le mystère. Dans le cimetière de Suèvres, où la fillette a été inhumée, une petite tombe blanche soigneusement entretenue par la municipalité attend toujours un nom.
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 14 Juin 2018 - 12:36, édité 1 fois
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
À ce stade, on sait peu de choses sur les parents, si ce n'est qu'ils ont eu sept enfants, en comptant la petite fille dont on ignore encore le prénom. Selon nos informations, elle était née début juillet 1983. Elle avait donc à peine 4 ans lorsqu'elle est décédée.
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
La parents ont été interpellés en région Parisienne.
Ils devraient être présentés à un juge au tribunal de grande instance de Blois dans la journée.
Les enquêteurs ont aussi recoupé les données de la caisse d'allocations familiales pour déterminer qu'un enfant du couple n'était plus recensé.
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Ils devraient être présentés à un juge au tribunal de grande instance de Blois dans la journée.
Les enquêteurs ont aussi recoupé les données de la caisse d'allocations familiales pour déterminer qu'un enfant du couple n'était plus recensé.
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Dernière édition par Kassandra88 le Ven 15 Juin 2018 - 15:25, édité 1 fois
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Le signalement de la fillette avait été diffusé dans plus de 30 pays et sa photographie placardée dans tous les endroits publics. Elle mesurait 0,95 mètre, avait les cheveux bruns bouclés et les yeux marron foncé.
En 1997, le procureur de l'époque Etienne Daures avait "bon espoir de pouvoir donner un nom" à cette fillette enterrée anonymement au cimetière de Suèvres (Loir-et-Cher) proche des lieux de la découverte du corps.
La tombe de la fillette était régulièrement fleurie par les habitants de la commune où elle repose. Sur le monument funéraire est gravée une simple inscription: "Ici repose un ange".
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En 1997, le procureur de l'époque Etienne Daures avait "bon espoir de pouvoir donner un nom" à cette fillette enterrée anonymement au cimetière de Suèvres (Loir-et-Cher) proche des lieux de la découverte du corps.
La tombe de la fillette était régulièrement fleurie par les habitants de la commune où elle repose. Sur le monument funéraire est gravée une simple inscription: "Ici repose un ange".
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
L’enfant se prénommerait Inass et avait 4 ans au moment de son décès.
Ces derniers mois, les enquêteurs ont remonté minutieusement la piste de cette famille pour cibler et surveiller les parents recherchés. Ce couple de sexagénaires, qui vivaient séparés depuis 2010, a finalement été interpellé mardi, l’un en Ile-de-France, l’autre en Picardie. La comparaison des ADN prouverait qu’ils sont bien les parents de l’enfant.
Selon nos informations, les gendarmes procèdaient ce jeudi à des perquisitions dans l’Aisne et dans le nord de la Seine-Saint-Denis. Le père aurait reconnu les faits en garde à vue, mais la mère continue de nier. Depuis le drame, elle faisait croire à son entourage que leur enfant était au Maroc, dont ils sont originaires.
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Ces derniers mois, les enquêteurs ont remonté minutieusement la piste de cette famille pour cibler et surveiller les parents recherchés. Ce couple de sexagénaires, qui vivaient séparés depuis 2010, a finalement été interpellé mardi, l’un en Ile-de-France, l’autre en Picardie. La comparaison des ADN prouverait qu’ils sont bien les parents de l’enfant.
Selon nos informations, les gendarmes procèdaient ce jeudi à des perquisitions dans l’Aisne et dans le nord de la Seine-Saint-Denis. Le père aurait reconnu les faits en garde à vue, mais la mère continue de nier. Depuis le drame, elle faisait croire à son entourage que leur enfant était au Maroc, dont ils sont originaires.
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Ce jeudi 14 juin, les parents de l'enfant doivent être présentés au juge d'instruction. Le père, Ahmed T., est orginaire de Puteaux, dans les Hauts-de-Seine. La mère, Halima E., réside à Villers-Cotterêts, dans l'Aisne.
Ils ont été interpellés mardi 12 juin par les gendarmes.
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Ils ont été interpellés mardi 12 juin par les gendarmes.
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Kassandra88 a écrit:
Selon nos informations, les gendarmes procèdaient ce jeudi à des perquisitions dans l’Aisne et dans le nord de la Seine-Saint-Denis. Le père aurait reconnu les faits en garde à vue, mais la mère continue de nier. Depuis le drame, elle faisait croire à son entourage que leur enfant était au Maroc, dont ils sont originaires.
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À un moment donné, il va falloir aussi se poser des questions sur "l'entourage" de la famille parce que la photo de la gamine a été largement diffusée à l'époque et elle était tout de même reconnaissable ! D'autant plus si on leur a dit qu'elle aurait été envoyée au Maroc au même moment...
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
weltgeist a écrit:
À un moment donné, il va falloir aussi se poser des questions sur "l'entourage" de la famille parce que la photo de la gamine a été largement diffusée à l'époque et elle était tout de même reconnaissable ! D'autant plus si on leur a dit qu'elle aurait été envoyée au Maroc au même moment...
En 2012 (forum France2) beaucoup pensaient à des gens du voyage.
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Kassandra88 a écrit:weltgeist a écrit:
À un moment donné, il va falloir aussi se poser des questions sur "l'entourage" de la famille parce que la photo de la gamine a été largement diffusée à l'époque et elle était tout de même reconnaissable ! D'autant plus si on leur a dit qu'elle aurait été envoyée au Maroc au même moment...
En 2012 (forum France2) beaucoup pensaient à des gens du voyage.
A priori, on s'oriente plutôt sur une famille "installée" mais elle a pu bouger en France et à l'étranger entre-temps. Déjà entre Suèvres (où a été retrouvée Inass) et Villers-Cotterets, il y a + de 250kms.
Cette famille habitait-elle dans la région de Suèvres en 1987 où alors était-elle juste de passage sur cette autoroute A10 ?
L'enfant a été retrouvée en août 1987, au moment des vacances donc. Se peut-il que la famille revenait de vacances un peu plus au sud ? un pays comme le Maroc ?
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
MAJ : A priori, la famille se rendait au Maroc au moment de la mort d'Inass en août 1987.
Et sinon on en apprend un peu plus dans cet article sur l'environnement familial :
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Visiblement, ils vivaient dans le mensonge parce qu'une fois le père est parti, "on" a raconté aux voisins qu'il était allé finir ses jours au Maroc alors qu'en réalité les parents se séparaient et que le père est allé vivre en région parisienne.
Dans cet article, il est question de 3 fils et 3 filles en plus d'Inass.
Et sinon on en apprend un peu plus dans cet article sur l'environnement familial :
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Visiblement, ils vivaient dans le mensonge parce qu'une fois le père est parti, "on" a raconté aux voisins qu'il était allé finir ses jours au Maroc alors qu'en réalité les parents se séparaient et que le père est allé vivre en région parisienne.
Dans cet article, il est question de 3 fils et 3 filles en plus d'Inass.
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Elle a désormais un prénom:
VIDEO. «Petite martyre de l’A10»: ce que l’on sait des parents de la jeune Inass
L’environnement familial de la petite Inass, se précise.
Les parents de la fillette ont vécu pendant plusieurs années dans l’Aisne, à Villers-Cotterêts. C’est d’ailleurs là que la mère de l’enfant, Halima E., 64 ans, a été interpellée ce mardi matin, un peu avant 8 heures.
Le couple d’origine marocaine s’est installé dans la commune axonaise au milieu des années 90. La famille occupait une maison située à l’arrière des commerces qu’elle exploitait. Les parents, puis les fils, ont tour à tour tenu un dépôt de pain, puis une épicerie, un kebab et une boucherie halal.
Ce jeudi matin, dans le quartier de Vivières, les habitants que nous avons rencontrés ne cachaient pas leur stupéfaction en apprenant que l’enfant connue depuis 31 ans comme « la petite martyre de l’A10 » n’était autre que le 7e enfant de cette famille.
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VIDEO. «Petite martyre de l’A10»: ce que l’on sait des parents de la jeune Inass
L’environnement familial de la petite Inass, se précise.
Les parents de la fillette ont vécu pendant plusieurs années dans l’Aisne, à Villers-Cotterêts. C’est d’ailleurs là que la mère de l’enfant, Halima E., 64 ans, a été interpellée ce mardi matin, un peu avant 8 heures.
Le couple d’origine marocaine s’est installé dans la commune axonaise au milieu des années 90. La famille occupait une maison située à l’arrière des commerces qu’elle exploitait. Les parents, puis les fils, ont tour à tour tenu un dépôt de pain, puis une épicerie, un kebab et une boucherie halal.
Ce jeudi matin, dans le quartier de Vivières, les habitants que nous avons rencontrés ne cachaient pas leur stupéfaction en apprenant que l’enfant connue depuis 31 ans comme « la petite martyre de l’A10 » n’était autre que le 7e enfant de cette famille.
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Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
La mère prétend que Inass est toujours en vie au Maroc.
Re: Inass Touloub, la petite inconnue de l'A10
Merci encore l'ADN.....
RIP petit ange, que tes bourreaux payent maintenant
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jeanjeand
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